« L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures », Jacques Attali, dans L’Avenir de la vie (1981)
En 1981, Jacques Attali, dans L’Avenir de la vie, lançait une prédiction aussi glaçante que complaisante : « L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figure. Dans une logique socialiste, pour commencer, le problème se pose comme suit : la logique socialiste c’est la liberté et la liberté fondamentale, c’est le suicide ; en conséquence le droit au suicide direct ou indirect est donc une valeur absolue dans ce type de société. Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera trop insupportable, ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de pratique courante. Je pense donc que l’euthanasie, qu’elle soit une valeur de liberté ou une marchandise, sera une des règles de la société future. » Quarante-quatre ans plus tard, en 2025, cette sortie, drapée dans une aura de prospective intellectuelle, sonne comme un aveu cynique d’un système où les élites, dont Attali est un porte-voix, orchestrent une société qui abandonne les pauvres sous prétexte de « liberté ». La loi française sur l’aide à mourir, votée en 2024, et la crise du système de santé, illustrée par les tensions autour de “petits” exemple comme Doliprane, confirment que cette vision n’est pas une prophétie, mais un constat brutal d’un monde où les plus faibles sont sacrifiés.
Un système de santé en ruines : les pauvres paient, les riches prospèrent
La France, championne autoproclamée de la solidarité, taxe ses citoyens jusqu’à l’os – 46 % du PIB en prélèvements obligatoires, selon l’OCDE – pour un système social qui s’effondre. Les hôpitaux publics, asphyxiés par le sous-effectif et les fermetures de lits, laissent les patients, souvent les plus précaires, attendre des heures aux urgences ou errer dans des déserts médicaux. Pendant ce temps, les cliniques privées, réservées à ceux qui peuvent se payer des mutuelles coûteuses, offrent des soins rapides et confortables. Les cotisations sociales, extorquées à tous, ne financent plus l’égalité, mais un système à deux vitesses où les pauvres, comme au Moyen Âge, sont relégués au rang de « malades » à gérer, comme Attali le notait avec une froideur clinique.
Doliprane : quand même l’essentiel devient un luxe
Prenez le Doliprane, ce paracétamol de base, symbole d’un accès universel aux soins. En 2025, la cession de 50 % d’Opella, la branche de Sanofi qui le produit, à un fonds vautour américain pour 10 milliards d’euros, a fait trembler la France. Pas d’arrêt de production, nous dit-on, mais les pénuries de 2022-2023 et la défiance envers cette vente – dénoncée sur X comme un pillage après des milliards d’aides publiques à Sanofi – rappellent une vérité amère : même les médicaments les plus basiques deviennent une denrée incertaine pour les pauvres. Les usines françaises continuent de produire, mais pour combien de temps, et à quel prix ? Les élites, avec leurs pharmacies bien achalandées et leurs médecins privés, ne savent rien de ces angoisses. Les pauvres, eux, trinquent, coincés entre des rayons vides et un système public exsangue.
L’aide à mourir : un piège pour les vulnérables
C’est dans ce décor que la loi sur l’aide à mourir, entrée en vigueur en 2025, révèle son vrai visage. Vendue comme un droit à la « dignité », elle permet l’euthanasie ou l’assistance au suicide pour les patients en fin de vie, sous conditions strictes. Mais qui bénéficie vraiment de cette « liberté » ? Les élites, bien sûr, celles qu’Attali, avec son arrogance technocratique, semble caresser dans sa prose. Eux, avec leurs cliniques huppées et leurs soins palliatifs sur mesure (sous-financés dans le public, où seuls 20 % des patients y accèdent, selon la SFAP), peuvent choisir leur fin comme on choisit un vin. Pour le peuple, c’est une autre histoire. Sans accès à des soins palliatifs dignes, sans médicaments pour soulager la douleur, dans un système où même le Doliprane devient un luxe, l’aide à mourir ressemble à une porte de sortie imposée par la misère, un « suicide indirect » comme Attali le formulait avec un détachement qui frise le mépris.
Attali, prophète ou complice ?
Ne nous y trompons pas : Attali ne prédisait rien, il décrivait avec complaisance un monde que les élites, dont il est l’incarnation, ont contribué à façonner. Sa vision de l’euthanasie comme « marchandise » ou « liberté » n’est pas une alerte, mais un constat froid, presque jubilatoire, d’un système qui rationalise la vie humaine au nom de l’efficacité économique. En 2025, la loi sur l’aide à mourir, dans un système de santé où les pauvres sont abandonnés, fait écho à ce cynisme. Elle n’est pas une avancée humaniste, mais un symptôme d’une société où les élites, protégées par leurs privilèges, laissent les plus faibles face à un choix faussé : mourir dignement ou souffrir indignement.
Un sursaut ou la résignation
Si la France veut échapper à ce piège, elle doit cesser de se gargariser de son modèle social tout en le laissant pourrir. Investir dans les soins palliatifs, sécuriser la production de médicaments essentiels comme le Doliprane, et redonner des moyens aux hôpitaux publics ne sont pas des options, mais des urgences. Sans cela, la loi sur l’aide à mourir ne sera qu’un outil de plus pour gérer les « inutiles », comme Attali, avec son arrogance de salon, semblait l’anticiper. Le peuple mérite mieux qu’un système qui le taxe pour mieux l’oublier, et une « liberté » qui ressemble à une sentence.
Occident : Lorsque l’Alignement Transnational Domine les États
Sous le masque de la coopération mondiale, une globalisation systémique aligne l’Occident et une partie du Moyen-Orient sur les intérêts d’une élite transnationale, sacrifiant la souveraineté et la diversité des nations. Ce globalisme, orchestré par des institutions comme le Forum économique mondial (WEF), des multinationales et des réseaux de lobbying, concentre la richesse, manipule la diversité culturelle et exploite l’insécurité pour imposer un contrôle accru. Depuis le second mandat de Donald Trump (20 janvier 2025), cet agenda s’est accéléré, dissimulé par une rhétorique patriotique qui trahit les aspirations souverainistes. Cet article dénonce les leviers financiers, culturels et stratégiques de cette emprise, explore la vassalisation de l’Europe par les États-Unis – de l’après-guerre à l’ère Trump – et met en lumière le rôle paradoxal d’Israël, qui promeut la globalisation tout en préservant son nationalisme. Face à cette menace, la défense des identités nationales et des libertés individuelles est une urgence.
1. Le Globalisme Financier : Une Concentration du Pouvoir
1.1. La domination des élites transnationales
Le globalisme financier repose sur la mainmise de multinationales et de fonds d’investissement comme BlackRock, gérant plus de 10 000 milliards de dollars d’actifs (Bloomberg, 2024). Ces acteurs imposent des normes économiques – dérégulation, privatisations, libre-échange – qui affaiblissent les États. Depuis 2025, le second mandat de Trump a accéléré cet alignement : son Agenda 47, présenté comme "America First", impose des tarifs douaniers (10 % sur les importations) qui forcent l’Europe et la Chine à signer des accords commerciaux bilatéraux favorisant les multinationales américaines (The Economist, 2025).
1.2. L’endettement comme levier d’alignement
La dette publique mondiale, à 97 % du PIB en 2023 (Banque mondiale, 2024), rend les nations dépendantes des créanciers comme le FMI. En France, Emmanuel Macron, formé chez Rothschild et promu par Jacques Attali – qui prédisait dès 2010 qu’il deviendrait président (Le Figaro, 2010) – a poussé la réforme des retraites de 2023, alignée sur les recommandations du WEF. En 2024, Macron revendiquait à Davos avoir "accompli" ses engagements globalistes, creusant les inégalités sociales (WEF, 2024). Depuis 2025, les sanctions américaines contre la Russie et la Chine, soutenues par Trump, ont forcé l’Europe à adopter des politiques économiques coûteuses, augmentant sa dépendance (The Wall Street Journal, 2025).
1.3. Une menace pour la diversité économique
Ce système concentre la richesse : 1 % de la population détient 50 % des richesses mondiales (Oxfam, 2024). Les classes moyennes et populaires stagnent, tandis que les modèles économiques locaux s’effacent face aux géants transnationaux. Les tarifs de Trump, censés protéger les emplois, ont déclenché des représailles économiques, réduisant la croissance mondiale de 1,2 % en 2025 (FMI, 2025), au détriment des nations.
Tarif de 50 % des USA sur le Brésil : Une Riposte aux BRICS ?
Bug dans la Matrice : Un Employé de xAI Licencié après avoir « Débridé » Grok, (nous avons capturé certaines des réponses pépites de l’IA)
Incendie majeur aux portes de Marseille : la ville en alerte face à un feu attisé par le mistral
Un incendie de grande ampleur s’est déclaré ce mardi 8 juillet 2025 aux Pennes-Mirabeau, commune limitrophe de Marseille, avant de se propager rapidement vers le nord de la cité phocéenne, touchant particulièrement le 16e arrondissement. Attisé par un mistral soufflant à plus de 70 km/h et des conditions de sécheresse extrême, le feu a déjà ravagé environ 350 hectares de végétation, plongeant la région dans une situation d’urgence…
Nommé par Netanyahu pour le Prix Nobel de la Paix, Trump déclare finalement : «Nous allons envoyer plus d’armes en Ukraine»
Lors de la dernière réunion à la Maison Blanche, marquée par la nomination de Donald Trump pour le Prix Nobel de la Paix par Benjamin Netanyahu, l’ancien président américain a déclaré qu’il fallait envoyer plus d’armes en Ukraine.
Cette affirmation, capturée dans une vidéo diffusée par Fox News sous le bandeau « NETANYAHOU NOMINE TRUMP POUR LE PRIX NOBEL DE LA PAIX », contraste vivement avec les rapports ultérieurs indiquant une suspension de l’aide militaire à l’Ukraine.
Cette volte-face illustre une fois de plus la tactique de « max pressure » de Trump, où des déclarations contradictoires servent à exercer une pression stratégique sur les parties impliquées.
Cependant, la nomination de Trump par Netanyahou pour le Prix Nobel de la Paix doit être considérée dans un contexte où Netanyahou est une figure hautement controversée.
Ses actions et ses déclarations ont souvent été critiquées, et sa parole n’est pas perçue comme une garantie de ce qu’est la paix.
Alors que la nomination pourrait suggérer une orientation vers la paix, les actions militaires proposées par Trump indiquent une approche plus complexe, naviguant entre des initiatives de paix et des mesures de défense.
Cette situation soulève très souvent des questions sur la sincérité et les motivations derrière de telles nominations et déclarations.
Diffusion de « pleurs de bébé » à Gaza : la tactique israélienne qui détruit le mensonge des boucliers humains
Depuis la réponse au 7 octobre, le conflit à Gaza a été marqué par une escalade dramatique des tactiques militaires, chacune révélant des aspects troublants des stratégies employées. Parmi ces tactiques, l’utilisation de quadricoptères israéliens émettant des sons de bébé pleurant pour attirer les résidents hors de leurs maisons se distingue comme une méthode particulièrement insidieuse. Cette pratique, bien que choquante, soulève des questions cruciales sur les intentions réelles derrière les opérations militaires israéliennes et contredit directement le narratif officiel selon lequel les cibles primaires sont le Hamas, avec des pertes civiles considérées comme des « dommages collatéraux » inévitables. Une analyse approfondie de cette tactique révèle une contradiction flagrante qui mérite d’être examinée de près…
Trump : le « sQam » du siècle ? (Par Vincent VDO)
🕵️♂️Après les promesses électorales de Donald Trump – mettre fin au "deep state", publier la liste d’Epstein, clore l’affaire Diddy, éviter une guerre au Moyen-Orient, et inspecter Fort Knox –, que s’est-il vraiment passé ?
👨⚖️ Le 7 juillet 2025, le FBI affirme que Jeffrey Epstein s’est suicidé sans laisser de liste compromettante, mais les doutes persistent.
🎧 Les enregistrements explosifs de Michael Wolff (100 heures sur Trump !).
🎥 La vidéo de 1992 montrant Trump et Epstein à Mar-a-Lago, et les photos qui parlent d’elles-mêmes.
📈 Explorez la proximité troublante de Trump avec Palantir, cette entreprise tech en hausse de 24 %, et les frappes iraniennes synchronisées CIA-Mossad.
⚖️ Que dire du soi-disant suicide de Virginia Giuffre et de la disparition de témoins dans l’affaire Diddy, blanchi aujourd’hui?
🤔 Et si Fort Knox, censé détenir des milliards en or, était vide ?
🚨 Cette vidéo soulève une question terrifiante : et si Q, l’espoir des "anons", n’était qu’une psyop orchestrant le plus grand "sQam" du siècle ?
Mort suspecte d’Olivier Marleix : encore un “suicide” qui réduit au silence ?
Le 7 juillet 2025, Olivier Marleix, député Les Républicains d’Eure-et-Loir, est retrouvé pendu à son domicile d’Anet, à l’âge de 54 ans. Un suicide, selon le procureur de Chartres, Frédéric Chevallier. Un « petit bout de papier » non encore exploité, pas de lettre explicative, des ordinateurs et un téléphone saisis pour analyse : voilà tout ce que les autorités daignent partager. Pour un média dissident qui refuse d’avaler les narratifs officiels, cette mort brutale sent le soufre. Marleix, figure intègre et pugnace, dérangeait. Et si ce « suicide » était une vérité trop commode pour un système qui n’aime pas les voix discordantes ?
Oh, Miracle ! Le FBI Déclare : Pas de Liste Epstein, Juste un Suicide Impeccable
Une Farce à l’Americaine
Tenez-vous bien, chers patriotes, car le 07 juillet 2025, le FBI nous a gratifiés d’une annonce aussi hilarante qu’incroyable : Jeffrey Epstein, l’homme aux secrets juteux, s’est « bel et bien suicidé » dans sa cellule, et “roulements de tambour” il n’y a aucune liste de ses petits copains puissants !
Oui, vous avez bien lu : après des années de spéculations délirantes et de scandales à n’en plus finir, les gardiens de la vérité fédérale nous servent cette pépite comme si on avalait des bonbons. Mais franchement, qui pourrait gober une telle fable dans l’Amérique des héros et des complots ?
La Chine et la France : un partenariat stratégique à l’épreuve des tensions géopolitiques mondiales
La 7e session du dialogue de haut niveau sino-français, tenue à Paris le 4 juillet 2025, a marqué une étape clé dans les relations entre la France et la Chine, dans un contexte géopolitique mondial marqué par l’instabilité et les rivalités commerciales. Co-présidée par le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, et son homologue français, Jean-Noël Barrot, cette rencontre a mis en lumière l’ambition des deux nations de renforcer leur partenariat stratégique global pour promouvoir le multilatéralisme et apporter une certaine stabilité dans un monde en proie à des bouleversements. Mais derrière les déclarations d’unité, des tensions sous-jacentes et des enjeux géopolitiques complexes révèlent les défis d’une relation bilatérale ambitieuse.
Une coopération bilatérale renforcée, mais sous contraintes
L’annonce d’un accord sur le cognac et l’armagnac, mettant fin à une enquête antidumping chinoise, a été un point fort de cette rencontre. Cet accord, qui repose sur l’engagement des producteurs français à respecter un prix plancher, illustre une volonté de désamorcer les tensions commerciales qui ont marqué les relations sino-européennes ces derniers mois. Wang Yi a saisi l’occasion pour critiquer l’utilisation des droits de douane comme arme commerciale, plaidant pour un environnement d’affaires équitable et une augmentation des importations de produits français en Chine, ainsi que des investissements chinois en France. Ces engagements s’inscrivent dans une dynamique de rééquilibrage économique, alors que le déficit commercial de l’Union européenne avec la Chine atteint 357,1 milliards de dollars, un sujet de friction récurrent.
Les discussions ont également porté sur des secteurs stratégiques tels que la culture, l’éducation, la science, le sport, mais aussi des industries de pointe comme l’énergie nucléaire, l’aéronautique, l’intelligence artificielle, l’énergie verte et la biotechnologie. Cette diversification des échanges reflète la volonté de Pékin et Paris de consolider leur coopération face aux incertitudes globales. Wang Yi a souligné que, dans un contexte de montée de l’unilatéralisme et du protectionnisme – une critique implicite des États-Unis sous l’administration Trump –, la relation sino-française constitue une force stabilisatrice.