Illustration réalisée par Contre7

    Sous couvert de bienveillance, (comme très souvent) la macronie envahit X, célébrant une prétendue guerre sainte contre les réseaux sociaux pour « protéger nos mineurs » avant 15 ans, une vérité caustique se profile à l’horizon : ce n’est qu’un écran de fumée pour imposer une identité numérique totalitaire, un fichage généralisé qui nous enchaînera tous dans une surveillance d’État implacable. Sous des airs de bienveillance, on infantilise les parents, les réduisant à des incapables qui ne sauraient interdire un smartphone à leurs propres gamins, tout en préparant une société où la liberté individuelle sera broyée sous le poids d’une technologie oppressante.

    Réveillez-vous : ce n’est pas une protection, c’est une confiscation !

    L’Infantilisation des Parents : Une Trahison Calculée

    Qualifier les parents d’incapables est une insulte calculée, un coup bas qui les dépouille de leur autorité tout en les rendant complices de leur propre dépossession. Entre la pression sociale – « tous les copains ont Snapchat ! » –, les devoirs numériques imposés par l’école, et la facilité d’accès à Internet via un téléphone bon marché, les familles sont déjà au bord du gouffre. Pourtant, plutôt que de leur offrir des outils concrets – ateliers gratuits, guides clairs, accompagnement réel –, on les infantilise en leur collant des algorithmes et des vérificateurs tiers entre les mains. La CNIL s’égosille à dénoncer les risques pour la vie privée, mais les discours officiels préfèrent jouer les sourds. Résultat ? Les parents, transformés en spectateurs impuissants, regardent leur rôle parental s’effriter sous les coups d’une bureaucratie technocratique qui les méprise, tout ça pour mieux contrôler l’accès des mineurs aux réseaux.

    L’Identité Numérique : Une Prison en Construction pour Nos Enfants

    Ne vous y trompez pas : cette vérification d’âge, si elle devient la norme pour les mineurs, n’est qu’un cheval de Troie pour une identité numérique universelle, un outil de contrôle qui transformera nos vies en fichiers administratifs. L’Union européenne, avec son portefeuille d’identité numérique prévu pour 2027, trace déjà la voie, et la France, docile, s’aligne. Sous prétexte de protéger les jeunes des prédateurs en ligne ou des contenus toxiques sur les réseaux sociaux, on prépare un monde où l’anonymat – ce dernier rempart de la liberté individuelle – sera éradiqué. Les plateformes, menacées d’amendes colossales (jusqu’à 1 % de leur chiffre d’affaires mondial), n’auront pas d’autre choix que de se plier, collectant les données de nos enfants comme des trophées dans une chasse à l’homme numérique. Et une fois ce système en place pour les mineurs, pourquoi s’arrêter ? Les adultes seront les prochaines cibles : sous couvert de lutte contre la fraude, le terrorisme ou la désinformation, on nous imposera une surveillance permanente, un fichage qui transformera chaque citoyen en suspect.

    Une Surveillance Totalitaire en Marche

    Imaginez un instant : chaque like d’un adolescent sur TikTok, chaque message sur WhatsApp, chaque recherche sur Google deviendra une preuve enregistrée dans un registre centralisé. Les gouvernements, avec leurs alliés technologiques, auront un accès sans précédent à nos vies privées, commençant par celles de nos enfants sur les réseaux sociaux. La privation de liberté ne sera plus une hypothèse, mais une réalité tangible : pas de compte sans identification, pas d’accès sans soumission. Les caméras faciales, les bases de données biométriques, les algorithmes prédictifs – tous ces outils déjà testés dans des régimes autoritaires – s’inviteront chez nous sous des dehors démocratiques, d’abord pour surveiller les mineurs, puis pour nous tous. La CNIL peut bien agiter son drapeau rouge, les lobbies et les ambitions politiques ont déjà pris le dessus. Sur X, certains s’indignent de cette dérive, mais beaucoup restent aveugles, bercés par l’illusion d’une sécurité illusoire pour nos jeunes.

    Un Appel à la Révolte Contre Cette Dictature Numérique

    Ce théâtre absurde n’est qu’un prélude à une dystopie où nos libertés seront marchandées contre une promesse vide. Derrière les sourires de Macron et les déclarations enflammées de Bergé se cache une normalisation insidieuse de la surveillance, débutant avec les mineurs et leurs réseaux sociaux. Les parents, loin d’être des incapables, méritent mieux qu’un rôle de pantins dans ce scénario Orwellien. Réveillez-vous avant qu’il ne soit trop tard : l’identité numérique ne viendra pas avec des tambours et des trompettes, mais en glissant sournoisement dans nos vies, sous le fallacieux prétexte de protéger nos enfants des réseaux. Résistez, informez-vous, organisez-vous ! Exigez des alternatives qui respectent nos droits plutôt que de les brader pour un mirage de contrôle. Sinon, bien avant l’agenda 2030, nous serons tous numérotés, fichés, surveillés, dans une société où la vie privée sera un souvenir lointain et la liberté un privilège confisqué – et nos mineurs, les premiers otages de cette prison numérique.

    L’Instrumentalisation Éhontée du Fait Divers

    Et que dire de l’exploitation cynique du drame de la surveillante poignardée par un collégien, relayée par l’AFP dans son post du 10 juin 2025 ? Ce fait divers tragique, qui n’a aucun lien direct avec une interdiction des réseaux sociaux, est brandi comme un étendard par Macron pour justifier sa croisade. Cette récupération opportuniste est flagrante : en associant un acte isolé à la régulation des plateformes, le gouvernement détourne l’attention des vraies causes – échec éducatif, manque de moyens dans les écoles – pour pousser son agenda de contrôle numérique. Un coup bas qui illustre à quel point ce discours sur la protection des mineurs sert de prétexte à une surveillance généralisée.

    Un Appel à la Révolte Contre Cette Dictature Numérique

    Ce théâtre absurde n’est qu’un prélude à une dystopie où nos libertés seront marchandées contre une promesse vide. Derrière les sourires de Macron et les déclarations enflammées de Bergé se cache une normalisation insidieuse de la surveillance, débutant avec les mineurs et leurs réseaux sociaux. Les parents, loin d’être des incapables, méritent mieux qu’un rôle de pantins dans ce scénario Orwellien. Réveillez-vous avant qu’il ne soit trop tard : l’identité numérique ne viendra pas avec des tambours et des trompettes, mais en glissant sournoisement dans nos vies, sous le fallacieux prétexte de protéger nos enfants des réseaux. Résistez, informez-vous, organisez-vous ! Exigez des alternatives qui respectent nos droits plutôt que de les brader pour un mirage de contrôle. Sinon, d’ici 2027, nous serons tous numérotés, fichés, surveillés, dans une société où la vie privée sera un souvenir lointain et la liberté un privilège confisqué – et nos mineurs, les premiers otages de cette prison numérique.

    Mort suspecte d’Olivier Marleix : encore un “suicide” qui réduit au silence ?

    Mort suspecte d’Olivier Marleix : encore un “suicide” qui réduit au silence ?

    Le 7 juillet 2025, Olivier Marleix, député Les Républicains d’Eure-et-Loir, est retrouvé pendu à son domicile d’Anet, à l’âge de 54 ans. Un suicide, selon le procureur de Chartres, Frédéric Chevallier. Un « petit bout de papier » non encore exploité, pas de lettre explicative, des ordinateurs et un téléphone saisis pour analyse : voilà tout ce que les autorités daignent partager. Pour un média dissident qui refuse d’avaler les narratifs officiels, cette mort brutale sent le soufre. Marleix, figure intègre et pugnace, dérangeait. Et si ce « suicide » était une vérité trop commode pour un système qui n’aime pas les voix discordantes ?

    Oh, Miracle ! Le FBI Déclare : Pas de Liste Epstein, Juste un Suicide Impeccable

    Oh, Miracle ! Le FBI Déclare : Pas de Liste Epstein, Juste un Suicide Impeccable

    Une Farce à l’Americaine

    Tenez-vous bien, chers patriotes, car le 07 juillet 2025, le FBI nous a gratifiés d’une annonce aussi hilarante qu’incroyable : Jeffrey Epstein, l’homme aux secrets juteux, s’est « bel et bien suicidé » dans sa cellule, et “roulements de tambour” il n’y a aucune liste de ses petits copains puissants !

    Oui, vous avez bien lu : après des années de spéculations délirantes et de scandales à n’en plus finir, les gardiens de la vérité fédérale nous servent cette pépite comme si on avalait des bonbons. Mais franchement, qui pourrait gober une telle fable dans l’Amérique des héros et des complots ?

    Décès d’un franc-maçon à Fontainebleau : drogue et rencontre au cœur de l’enquête

    Décès d’un franc-maçon à Fontainebleau : drogue et rencontre au cœur de l’enquête

    Laurent Kupferman, essayiste et membre éminent du Grand Orient de France, a été retrouvé mort mercredi 2 juillet au matin, dans un appartement du centre-ville de Fontainebleau, en Seine-et-Marne. Âgé de 59 ans, il serait décédé après avoir consommé des drogues de synthèse, notamment du GHB et de la 3MMC, en compagnie de deux hommes rencontrés via un site de rencontre. Une enquête pour « homicide involontaire » est en cours, et les deux individus présents ont été placés en garde à vue…

    BFMTV, le naufrage d’une chaîne en quête de scandale : l’attaque pathétique contre Alain Soral

    BFMTV, le naufrage d’une chaîne en quête de scandale : l’attaque pathétique contre Alain Soral

    Alors que les chaînes d’information en continu, à l’image de BFMTV, s’enfoncent dans un déclin d’audience aussi prévisible que pathétique, la stratégie est claire : fabriquer des scandales à tout prix pour tenter de ramener un public désabusé. Dans cette descente aux enfers médiatiques, Alain Soral, voix dissidente et suivie par un nombre croissant de Français lassés du récit officiel, devient la cible idéale d’une campagne de diffamation orchestrée par une BFMTV aux abois. Mais cette tentative désespérée de salir une figure révélatrice d’un ras-le-bol général risque de se retourner contre ses instigateurs. Démonstration.

    La chute libre de BFMTV : un média en fin de course

    Les chiffres ne mentent pas. En 2023, BFMTV se vantait encore d’être la première chaîne d’info avec 3 % de part d’audience, mais les tendances récentes montrent un effondrement inexorable. Les Français, saturés par une couverture biaisée et sensationnaliste, tournent le dos à ces organes mainstream qui servent plus les intérêts politiques que l’information brute. Face à cette hémorragie, que fait BFMTV ? Elle dégaine l’arme fatale du scandale fabriqué, espérant capter l’attention avec des titres racoleurs et des accusations infondées. Le 3 juillet 2025, la chaîne publie un article prétendant qu’Alain Soral, exilé en Suisse, est recherché pour « provocation au terrorisme » dans une soi-disant affaire d’ingérence pro-iranienne. Un scoop ? Non, une pantalonnade.

    Soral, bouc émissaire d’une chasse aux sorcières

    Reprenons les faits. BFMTV s’appuie sur une enquête du Pôle national de lutte contre la haine en ligne (PNLH) concernant une chaîne Telegram « Axe de la Résistance », accusée de propagande pro-iranienne. Trois personnes, dont une Iranienne à Lyon, sont mises en examen. Jusque-là, rien de neuf. Mais associer Soral à cette affaire relève de la pure spéculation. La chaîne brandit comme preuve une vieille déclaration de 2013 où Soral, avec son humour provocateur, avait plaisanté sur 3 millions d’euros reçus de l’Iran pour financer une liste antisioniste. Or, comme l’a révélé une ancienne vidéo et largement vue à l’époque, Soral a démenti cette histoire, la présentant comme ironique et fausse. BFMTV, dans sa hâte de salir, oublie commodément ce démenti, préférant tisser un récit mensonger pour faire de Soral le diable incarné.
    Pas de preuves solides d’un financement récent, pas de mandat d’arrêt officiel publié, juste des soupçons vagues et des perquisitions infructueuses chez lui en mai dernier. Pourtant, BFMTV ose titrer avec assurance, transformant une enquête en cours en verdict. Où est le journalisme, si ce n’est dans la poubelle de la propagande ?

    Proposition de loi n°1535 : « interdire et sanctionner les contenus et discours à caractère antirépublicain »

    Proposition de loi n°1535 : « interdire et sanctionner les contenus et discours à caractère antirépublicain »

    Proposition de loi n°1355 : la République brandit le bâton de la censure
    Le 10 juin 2025, une clique de députés, emmenée par Vincent Jeanbrun et Laurent Wauquiez, a osé déposer à l’Assemblée nationale la proposition de loi n°1355, prétendument destinée à « interdire et sanctionner les contenus et discours à caractère antirépublicain ». Sous le masque de la défense des valeurs républicaines – liberté, égalité, laïcité –, ce texte est une attaque frontale contre la liberté d’expression, un coup de poignard dans le cœur du débat démocratique. Cette proposition liberticide, drapée dans les oripeaux de la vertu républicaine, n’est rien d’autre qu’un outil pour imposer une pensée unique et museler toute voix dissidente. Voici pourquoi elle doit être dénoncée avec la plus grande vigueur.

    Un texte vague, une arme contre la liberté
    L’article 1er de cette proposition définit comme « antirépublicain » tout discours qui « remet en cause » la laïcité, la démocratie ou l’indivisibilité de la nation, ou qui promeut des idées contraires comme la théocratie ou le communautarisme. Ces termes sont d’une ambiguïté criminelle. Qu’est-ce que « remettre en cause » ? Une critique des dérives autoritaires de l’État ? Une réflexion sur la laïcité mal appliquée ? Un débat sur l’identité culturelle ? Tout cela pourrait tomber sous le couperet d’une justice aux ordres d’une élite autoproclamée. Ce flou n’est pas un oubli : c’est une arme, conçue pour frapper large et intimider quiconque oserait penser hors des clous de la « bien-pensance » républicaine.

    Des sanctions dignes d’un régime autoritaire
    La proposition ne fait pas dans la dentelle : jusqu’à 3 ans de prison et 45 000 € d’amende pour un tweet ou un discours jugé « antirépublicain », et même 5 ans et 75 000 € si cela se passe en ligne, en réunion, ou par un élu. Des peines dignes d’un régime qui craint les mots plus que les actes. Associations, collectifs, ou même lieux de culte risquent la dissolution pure et simple (article 4) si l’État décide qu’ils franchissent la ligne rouge – une ligne qu’il trace lui-même, bien sûr. Quant aux plateformes numériques, elles devront jouer les censeurs zélés, supprimant tout contenu signalé en 24 heures sous peine de sanctions (article 5). Résultat ? Une autocensure généralisée, où citoyens, médias et entreprises préféreront se taire plutôt que de risquer la foudre d’un État devenu gardien de la pensée...

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