Bienvenue dans le grand cirque géopolitique de 2025, où d’anciens chefs jihadistes deviennent des chefs d’État fréquentables, où des affiches géantes à Tel-Aviv célèbrent une “Alliance d’Abraham” avec des criminels reconvertis, et où les victimes des attentats en France – Charlie Hebdo, le Bataclan, Nice – doivent se demander si leurs bourreaux n’ont pas gagné un ticket pour la respectabilité internationale. Pendant ce temps, Donald Trump lève les sanctions contre la Syrie d’Ahmed al-Charaa (alias Joulani), Benjamin Netanyahou avoue à demi-mot avoir financé des groupes comme Daech, et tout ce beau monde se réunit sous une bannière clinquante pour vendre un “nouveau Moyen-Orient”. La morale ? Peu importe avec qui on traite, tant que ça ramène de l’oseille. Et tant pis si ça trahit les promesses anti-globalistes vendues aux électeurs…