Un nouveau rebondissement dans l’affaire Julian Assange met en lumière des pratiques troublantes du Crown Prosecution Service (CPS) sous la direction de Keir Starmer, actuel Premier ministre britannique. Des emails cruciaux, échangés avec les autorités suédoises pendant l’extradition d’Assange, ont été supprimés, contribuant à sa détention arbitraire pendant des années. Était-ce une stratégie pour briser le fondateur de WikiLeaks ? Ce scandale soulève des questions brûlantes sur la transparence et l’intégrité de Starmer…

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