Le 21 avril 2025, Klaus Schwab, l’octogénaire autoproclamé grand timonier du Forum économique mondial (WEF), a été poussé vers la sortie avec une brutalité qui contraste avec les salons feutrés de Davos. À 87 ans, celui qui a passé plus de cinq décennies à jouer les chefs d’orchestre des élites globalistes, prêchant la « quatrième révolution industrielle » et le « Great Reset » depuis son trône alpin, a annoncé sa démission immédiate de son poste de président et de membre du conseil d’administration. Finie, la transition feutrée qu’il avait promise jusqu’en janvier 2027. Exit, le départ en fanfare d’un visionnaire autoproclamé. Schwab s’éclipse sous un nuage d’allégations de malversations financières et éthiques, laissant derrière lui un WEF en pleine crise et un héritage qui sent le rance. Bienvenue dans la chute d’un empire bâti sur du champagne à 300 euros la bouteille et des sermons hypocrites sur la « durabilité »….

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