Le 22 mai 2025, Gérald Darmanin, ministre de la Justice, a lâché une proposition explosive lors d’une audition au Sénat : supprimer l’argent liquide pour, prétendument, juguler le trafic de stupéfiants. Une mesure « assez simple », selon lui, pour rendre chaque transaction traçable et désarmer les réseaux criminels. Vingt-quatre heures plus tard, face à l’indignation générale, il a reculé sur RTL, invoquant un manque de « moyens politiques » et l’attachement des Français aux espèces. Trop tard. Cette déclaration, loin d’être anodine, révèle une ambition glaçante : un contrôle numérique total des masses, où la liberté individuelle est sacrifiée sur l’autel de la traçabilité. Darmanin a entrouvert une porte que l’État rêve de franchir, et son recul n’est qu’une pause stratégique dans un jeu bien plus vaste…