Greenpeace kidnappe Macron… en cire ! Le casse du siècle au musée Grévin
PARIS, 2 juin 2025 – Oh, quel drame ! Ce matin, la statue de cire d’Emmanuel Macron, pièce maîtresse du musée Grévin, a été « empruntée » par trois militants de Greenpeace dans une opération digne d’un mauvais remake d’Ocean’s Eleven. Deux femmes et un homme, déguisés en touristes puis en employés, ont subtilisé la poupée de cire, estimée à 40 000 euros, avant de l’abandonner comme une vieille chaussette devant l’ambassade de Russie. Quel panache !
Mais, franchement, quelle déception : pourquoi s’embêter avec une copie quand on aurait pu rêver, ne serait-ce qu’un instant, qu’ils embarquent l’original ?
L’opération, revendiquée par Greenpeace, visait à dénoncer le « double discours » du président français, qui soutient l’Ukraine d’une main tout en laissant l’autre serrer celle des industriels français faisant affaire avec la Russie. Gaz, nucléaire, engrais chimiques : selon l’ONG, Macron joue les équilibristes sur la corde raide de la géopolitique, et ils ont voulu lui donner une leçon. Bravo pour l’audace, mais soyons honnêtes : une statue de cire ? Vraiment ? On aurait préféré un coup d’éclat avec le vrai Macron, histoire de secouer un peu l’Élysée. Imaginez la une : « Macron kidnappé par Greenpeace, retrouvé devant l’ambassade en train de faire un discours sur le climat. »
Les militants, avec une théâtralité à faire pâlir Hollywood, ont planqué la statue sous une couverture et filé par une issue de secours. Direction le 16e arrondissement, où ils ont déposé leur trophée devant l’ambassade russe, comme un message subtil… ou pas. Greenpeace promet de rendre la statue au musée Grévin, mais on ne peut s’empêcher de soupirer : quel gâchis ! Une statue inerte, aussi lisse que les discours présidentiels, ne changera rien à la politique énergétique française. Si seulement ils avaient eu l’audace de viser plus haut, de troquer la cire pour la chair et l’os, peut-être aurions-nous assisté à un vrai débat. Mais non, on se contentera de ce happening écolo, aussi éphémère qu’un tweet.
Pendant ce temps, au musée Grévin, on imagine les conservateurs en PLS, pleurant leur Macron figé. Et à l’Élysée ? Probablement un haussement d’épaules et un « circulez, y’a rien à voir ». Dommage, Greenpeace, vous aviez l’occasion de faire trembler la République. La prochaine fois, visez mieux. Ou plutôt, visez vrai.
Renaud Piarroux, Professeur à la Sorbonne : Quand les « Complotistes » et « Antivax » Avaient Raison
Dans une interview récente sur la chaîne YouTube de ThinkerView, Renaud Piarroux, professeur à l’Université Sorbonne et chef de service à l’hôpital Pitié-Salpêtrière, a enfin osé prononcer des mots qui auraient dû être dits il y a des années : « On a des choses qui nous orientent vers quelque chose qui serait passé au laboratoire de virologie. » Ces mots, prononcés avec une prudence presque coupable, viennent confirmer ce que beaucoup d’entre nous savaient déjà, mais que les élites scientifiques et politiques ont nié avec une arrogance insupportable. Pire encore, ils viennent admettre que ceux que l’on a traités de « complotistes » et d' »antivax » avaient, pour une large part, raison…
Mineurs et Réseaux Sociaux : Le Grand Bluff de l’Interdiction Masque une Prison Numérique !
Sous couvert de bienveillance, (comme très souvent) la macronie envahit X, célébrant une prétendue guerre sainte contre les réseaux sociaux pour « protéger nos mineurs » avant 15 ans, une vérité caustique se profile à l’horizon : ce n’est qu’un écran de fumée pour imposer une identité numérique totalitaire, un fichage généralisé qui nous enchaînera tous dans une surveillance d’État implacable. Sous des airs de bienveillance, on infantilise les parents, les réduisant à des incapables qui ne sauraient interdire un smartphone à leurs propres gamins, tout en préparant une société où la liberté individuelle sera broyée sous le poids d’une technologie oppressante. Réveillez-vous : ce n’est pas une protection, c’est une confiscation !
Quand Meta privatise le nucléaire (et bientôt l’eau) : bienvenue dans le futur que vous n’avez pas choisi
C’est une première en son genre, et probablement un précédent lourd de conséquences. Meta vient de signer un contrat de 20 ans avec Constellation Energy pour capter l’énergie fournie par la centrale nucléaire de Clinton (Illinois), exclusivement dédiée à l’alimentation de ses infrastructures d’intelligence artificielle. Une alliance toxique entre le tout-numérique et le tout-pouvoir privé, où l’énergie – bien commun par excellence – devient une ressource accaparée au nom de la « neutralité carbone ».
Mais ce que l’on vous dit moins, c’est que l’électricité n’est qu’une partie du pillage…
Australie : Le Revirement sur la Vaccination COVID-19 des Enfants, une Victoire Amère pour les Lanceurs d’Alerte Bafoués
Dans une annonce qui sonne comme un aveu tardif, le Département de la santé et des soins aux personnes âgées du gouvernement australien a déclaré, dans une mise à jour du Manuel australien de l’immunisation datée du 3 juin 2025, que les nourrissons, enfants et adolescents en bonne santé de moins de 18 ans ne devraient plus recevoir le vaccin contre la COVID-19. Raison invoquée : un risque de maladie grave jugé « extrêmement faible » dans ce groupe, et des bénéfices vaccinaux qui « ne l’emportent pas sur les risques potentiels ». Une décision qui, si elle peut sembler pragmatique aujourd’hui, résonne comme une gifle retentissante pour les milliers de lanceurs d’alerte et de citoyens qui, il y a quelques années, dénonçaient ces mêmes risques – et qui ont été systématiquement discrédités, ridiculisés, voire ostracisés par les autorités et les médias…
IA et chômage : Dario Amodei, PDG d’Anthropic, tire la sonnette d’alarme sur une crise imminente des cols blancs
Une tempête se profile à l’horizon du monde du travail, et elle porte le nom d’intelligence artificielle (IA). Dario Amodei, PDG d’Anthropic, l’entreprise derrière le chatbot Claude, a lancé un avertissement retentissant : l’IA pourrait provoquer une vague de chômage sans précédent, menaçant jusqu’à 50 % des emplois de cols blancs débutants d’ici cinq ans. Dans une série d’interventions récentes, Amodei n’a pas mâché ses mots, accusant les gouvernements et les entreprises de minimiser l’ampleur de cette révolution technologique. Alors, sommes-nous à l’aube d’un cataclysme économique ou d’une opportunité de réinvention ? Plongeons dans les détails de cette prophétie inquiétante…
Palantir Technologies : Une ombre au cœur de la surveillance mondiale et des conflits géopolitiques
Palantir Technologies, fondée en 2003 par Peter Thiel et Alex Karp, s’est imposée comme un acteur incontournable de l’analyse de données et de l’intelligence artificielle, mais son ascension soulève des questions brûlantes. Derrière son nom inspiré des boules de cristal omniscientes de Tolkien, Palantir opère dans l’ombre, tissant des liens avec des gouvernements, des agences de renseignement et des géants financiers comme BlackRock et Vanguard. Accusée de « fichage » des populations, de participation à des opérations militaires controversées en Ukraine, en Israël et ailleurs, et de proximité avec l’administration Trump, l’entreprise incarne une fusion inquiétante de technologie, pouvoir et profit. Cet article, sourcé et étayé, explore l’empire de Palantir et les zones d’ombre qu’il projette...
Christian Cotten : Les méthodes de gangsters de l’industrie pharmaceutique
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Pénurie d’antidépresseurs et aide à mourir : synchronisation scandaleuse ou négligence criminelle ?
En mai 2025, la France se trouve à un carrefour moral et sanitaire troublant. Alors que l’Assemblée nationale adopte en première lecture, le 27 mai, une loi ouvrant le « droit à l’aide à mourir », une pénurie sans précédent d’antidépresseurs et de psychotropes s’aggrave, plongeant des milliers de patients dans une détresse psychologique accrue. Cette coïncidence temporelle est-elle un simple hasard ou le signe d’une négligence systémique, voire d’une volonté implicite de pousser les plus vulnérables vers une issue fatale ? À l’heure où la santé mentale est proclamée « grande cause nationale », cette mauvaise synchronisation entre une pénurie critique et une loi aux implications éthiques majeures est absolument scandaleuse…
Bébés sur mesure : l’eugénisme privatisé avance à visage découvert
Pendant des décennies, l’eugénisme était le tabou absolu de nos sociétés modernes. Associé aux crimes du nazisme et aux programmes de stérilisation forcée, il était synonyme d’horreur totalitaire. Pourtant, aujourd’hui, sous les habits policés du marché, il refait surface dans les cliniques de reproduction du monde entier. Plus subtil, plus technologique, plus rentable aussi. On ne parle plus d’« épuration », mais de « choix parental ». Ce glissement sémantique dissimule mal une réalité : l’eugénisme n’a pas disparu, il a changé de visage...
L’euthanasie, un cynisme élitiste déguisé en liberté ?
En 1981, Jacques Attali, dans L’Avenir de la vie, lançait une prédiction aussi glaçante que complaisante : « L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figure. Dans une logique socialiste, pour commencer, le problème se pose comme suit : la logique socialiste c’est la liberté et la liberté fondamentale, c’est le suicide ; en conséquence le droit au suicide direct ou indirect est donc une valeur absolue dans ce type de société. Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera trop insupportable, ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de pratique courante. Je pense donc que l’euthanasie, qu’elle soit une valeur de liberté ou une marchandise, sera une des règles de la société future. » Quarante-quatre ans plus tard, en 2025, cette sortie, drapée dans une aura de prospective intellectuelle, sonne comme un aveu cynique d’un système où les élites, dont Attali est un porte-voix, orchestrent une société qui abandonne les pauvres sous prétexte de « liberté ». La loi française sur l’aide à mourir, votée en 2024, et la crise du système de santé, illustrée par les tensions autour de « petits » exemples comme Doliprane, confirment que cette vision n’est pas une prophétie, mais un constat brutal d’un monde où les plus faibles sont sacrifiés…