La rentrée scolaire 2025 en France s’ouvre sur un scandale qui devrait faire hurler de rage chaque parent et citoyen sensé. Une enquête de Mediapart a mis au jour une aberration effroyable : en Lozère, un conseiller pédagogique, condamné en 2011 pour détention de fichiers pédopornographiques, avait été chargé de former des enseignants du primaire au programme d’« éducation à la vie affective et relationnelle » (EVARS). Oui, un individu aux antécédents criminels, lié à des actes immoraux envers des enfants, était en position d’influencer l’éducation de nos tout-petits. Ce n’est pas une maladresse administrative, c’est une trahison institutionnelle qui pue la corruption et l’incompétence.

Ce programme, imposé par une directive européenne, se vante de promouvoir une éducation sexuelle « bienveillante ». Mais son socle intellectuel repose sur les travaux nauséabonds d’Alfred Kinsey, un pseudo-scientifique américain dont les expériences abjectes auraient dû le conduire en prison plutôt qu’à la gloire académique. Lors d’une interview que j’ai menée avec le Dr Régis Brunod, pédopsychiatre reconnu, ce dernier a révélé un fait glaçant : Kinsey aurait masturbé des nourrissons pour tenter de prouver qu’ils pouvaient atteindre des orgasmes.

En réalité ces réactions n’étaient que des convulsions, des souffrances physiques mal interprétées par ce monstre déguisé en chercheur. Ces données, recueillies auprès de pédophiles complices et publiées dans ses rapports, ont servi de base à une idéologie qui infiltre aujourd’hui nos écoles.

Et que voyons-nous en 2025 ? Un formateur pédophile appliquant cette logique tordue : l’héritage de Kinsey n’est pas seulement vivant, il prospère dans l’indifférence générale.

Le ministère de l’Éducation nationale porte une responsabilité écrasante. La rectrice de l’académie de Montpellier n’a retiré ses fonctions à ce conseiller qu’après la révélation publique par Mediapart, le 13 septembre. Sans cette pression, cet individu aurait continué à rôder près de nos enfants, un prédateur en costume d’éducateur. Où étaient les vérifications des casiers judiciaires, pourtant obligatoires dans ce secteur sensible ? Cette nomination n’est pas une erreur isolée : elle révèle un système gangréné par la négligence et l’idéologie aveugle.

Les internautes dénoncent une « loi pédophile » masquée en programme éducatif, et ils ont raison. Si Kinsey a bâti sa réputation sur des sévices infligés à des nourrissons – des actes que le Dr Brunod qualifie de tortures plutôt que de science – comment pouvons-nous tolérer que ses idées pervertissent l’éducation de nos enfants ? En Lozère, la boucle est bouclée : un pédophile forme d’autres éducateurs sous l’égide d’un programme inspiré par un autre prédateur intellectuel. C’est une insulte à la décence.

Il est grand temps que l’Éducation nationale rende des comptes. Ce programme, ancré dans des fondations intellectuelles pourries et criminelles, doit être immédiatement suspendu. Les parents exigent des réponses : pourquoi leurs enfants sont-ils livrés à un système aussi corrompu ? Si Kinsey avait été jugé et emprisonné pour ses expériences immondes – comme l’exigeait la morale la plus élémentaire – peut-être éviterions-nous ce cauchemar. Réveillez-vous, responsables politiques et administratifs : l’école n’est pas un laboratoire pour vos idéologies dégénérées. Retirez ce poison de nos salles de classe, ou le peuple le fera à votre place, avec la force de sa colère légitime.

Source :

https://www.mediapart.fr/journal/france/130925/education-la-sexualite-en-lozere-la-nomination-d-un-referent-condamne-pour-detention-de-fichiers-pedoporno