Le 10 octobre 2025, le comité Nobel a, sans surprise, attribué le prix Nobel de la paix à María Corina Machado, figure vénézuélienne alignée sur les idéaux chers aux élites globalistes. Donald Trump, nominé pour la énième fois, a été – ô choc – recalé, malgré ses Accords d’Abraham et autres gesticulations diplomatiques. En 2009, Barack Obama, lui, avait décroché la timbale, alors que la guerre en Irak battait son plein sous son mandat. Faut-il s’étonner que le comité Nobel, avec son penchant pour les rêves multilatéraux, snobe Trump tout en ignorant les contradictions d’Obama ? Ou que des idées farfelues comme la « Gaza Riviera » – un projet immobilier utopique au milieu d’un conflit – soient prises plus au sérieux que des approches souverainistes ? Cet article, fidèle à notre ligne critique de la mondialisation, dissèque ce théâtre globaliste avec une pointe de dérision.

Trump : des efforts diplomatiques dans le vide intersidéral du Nobel

Donald Trump, avec son style de bulldozer, a été nominé à plusieurs reprises (2018, 2020, 2024, 2025) pour des initiatives comme les Accords d’Abraham, qui ont normalisé les relations entre Israël et quelques pays arabes. Pourtant, le comité Nobel, perché sur son nuage multilatéral, n’a pas daigné y jeter un œil. Le testament d’Alfred Nobel parle de fraternité entre nations, mais apparemment, pas si elle passe par des deals à l’américaine. Trump, avec ses décisions comme le retrait de l’accord iranien, s’est mis à dos l’establishment globaliste. Et soyons honnêtes : l’idée qu’il puisse décrocher un Nobel relevait du fantasme, au même titre que la « Gaza Riviera », ce projet absurde de transformer une zone de guerre en station balnéaire de luxe. Le comité préfère des lauréats qui chantent l’hymne de la coopération mondiale, pas ceux qui bousculent l’ordre établi.

Obama 2009 : un Nobel pour des promesses, malgré les bombes en Irak

En 2009, Barack Obama a reçu le Nobel de la paix, à peine sorti des urnes, pour ses belles paroles sur le désarmement nucléaire et la diplomatie multilatérale. Charmant, sauf que son administration a intensifié la guerre en Irak, prolongé le bourbier afghan et popularisé les frappes de drones comme on commande une pizza. Un Nobel pour des promesses, alors que les bombes pleuvaient ? On applaudit l’audace. Obama, avec son aura de rockstar globale, cochait toutes les cases de l’élite mondialisée : discours policés, amour des institutions internationales, et un sourire qui fait fondre les diplomates norvégiens. Le comité a fermé les yeux sur les contradictions, prouvant que le globalisme prime sur la réalité.

Machado 2025 : une lauréate dans le moule globaliste

María Corina Machado, lauréate 2025, s’inscrit dans la droite ligne des choix du comité : une figure soutenue par les réseaux internationaux, portée aux nues pour son activisme démocratique. Son prix reflète la préférence du comité pour des causes qui fleurent bon la gouvernance mondiale, au détriment d’approches nationales. On pourrait presque croire que le Nobel récompense un abonnement à l’idéologie transnationale.

Le comité Nobel : un club globaliste avec vue sur le monde

Le comité Nobel, composé de Norvégiens bien-pensants – universitaires, ex-politiciens, diplomates – adore les figures qui incarnent la coopération internationale et les valeurs universalistes. Trump, avec son « America First », était aussi crédible pour eux qu’un stand de hot-dogs dans un gala vegan. Machado, elle, coche les cases : démocratie libérale, réseaux internationaux, et un vernis de respectabilité mondiale. Ce n’est pas une surprise : le comité nage dans les eaux du globalisme, où les institutions comme l’ONU ou les ONG dictent le tempo. Les souverainistes, eux, peuvent toujours rêver d’un strapontin.

Les réseaux globalistes : les vrais metteurs en scène

Le Nobel n’est pas qu’une remise de médaille : c’est une production orchestrée par un réseau d’élites – ONG, diplomates, universitaires – qui partagent une obsession pour la gouvernance mondiale. Obama était leur acteur fétiche, Trump leur repoussoir. Machado ? Une nouvelle vedette dans leur scénario. Ces réseaux, ancrés dans une vision globaliste, marginalisent les approches nationales, le reflet des biais d’un système qui privilégie l’idéologie sur les résultats.

Un théâtre absurde, mais révélateur

Le Nobel de la paix, avec ses airs de grand-messe globaliste, continue de snober Trump tout en couronnant Obama malgré la guerre en Irak ou Machado pour son activisme bien vu des élites internationales. Que Trump ait cru à ses chances relève presque de la comédie – tout comme l’idée que des projets absurdes comme la « Gaza Riviera » puissent être pris au sérieux dans un monde en crise. Ce théâtre met en lumière une vérité  : le globalisme façonne les institutions internationales, reléguant la souveraineté à l’arrière-plan. Alors, le Nobel est-il une récompense pour la paix ou un Oscar pour le meilleur rôle mondialisé ?