
Les mensonges éhontés de Thierry Breton
Dans l’arène politique européenne, où les mots sont souvent plus manipulés que les faits, Thierry Breton se distingue par son habileté à tisser des mensonges avec une précision chirurgicale. En tant qu’architecte principal du Digital Services Act (DSA), il a prétendu promouvoir la liberté d’expression, mais ses actions et ses déclarations révèlent une réalité bien différente.
La Contradiction de la « Liberté de Parole »
Breton a eu l’audace de déclarer à la télévision que « Chez nous en Europe, la parole est libre. Aux États-Unis, quand on a un problème, on ferme les plateformes, ils viennent de fermer TikTok, nous on ne ferait jamais ça ». Cette affirmation est en complète contradiction avec les critiques adressées au DSA, accusé d’être un outil de censure déguisé en régulation. Les organisations de défense des droits numériques et les citoyens qui se sentent muselés par ces lois nouvelles voient en Breton non pas un défenseur de la liberté, mais un censeur en chef.
Le DSA : Un Prétexte pour la Censure?
Sous la façade d’une législation visant à protéger contre la désinformation et les contenus illégaux, le DSA, promu par Breton, est perçu par beaucoup comme une menace pour la liberté d’expression. Les actions de modération de contenu qui ont suivi l’adoption du DSA semblent souvent cibler des opinions dissidentes, illustrant une contradiction flagrante entre le discours de liberté et les pratiques de censure.
Le Narratif Médiatique Français
Les médias français, souvent accusés d’alignement et de manque de critique vis-à-vis du DSA, ont largement ignoré ou minimisé ces accusations de censure. Ce silence médiatique, ou cette couverture orientée, contraste avec les nombreuses voix qui dénoncent la réalité des effets du DSA sur la liberté d’expression, montrant une autre couche de mensonge par omission ou manipulation.
Thierry Breton, par ses déclarations trompeuses et ses actions contradictoires, a révélé une approche de la politique où la vérité est souvent sacrifiée sur l’autel de l’agenda personnel. Sa gestion du DSA et ses promesses de liberté d’expression ont laissé un héritage de régulation qui, pour beaucoup, équivaut à une censure déguisée. Ainsi, l’ère Breton nous rappelle que dans le monde politique, la vérité peut être la première victime, laissant aux citoyens européens le défi de discerner le vrai du faux dans un tissu de mensonges habilement tissé.