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    Depuis les frappes israéliennes sur des sites nucléaires iraniens le 13 juin 2025, dans le cadre de l’opération baptisée « Rising Lion », une vague de colère semble déferler parmi une partie de la population israélienne. Ces attaques, qui ont ciblé des installations clés et tué plusieurs hauts responsables militaires iraniens, ont été suivies d’une réponse prévisible de Téhéran, qui avait pourtant averti qu’un « lourd tribut » serait payé. Alors que les missiles iraniens pleuvent sur Tel-Aviv et Jérusalem, blessant des dizaines de personnes selon les services de secours israéliens, les citoyens s’interrogent : où sont leurs dirigeants ?

    Une population laissée seule face au danger

    Le sentiment d’abandon gagne du terrain, comme en témoigne un post sur X relayant une image de tunnels souterrains, supposément utilisés par des figures comme Bezalel Smotrich et Itamar Ben-Gvir. Ces leaders, piliers de la coalition de droite de Benjamin Netanyahu depuis 2022, sont accusés de se cacher tandis que le public fait face aux assauts. « Les dirigeants israéliens se réfugient dans des abris, laissant le peuple aux missiles iraniens », peut-on lire dans ce message, qui reflète une frustration palpable. Cette indignation s’explique par le fait que l’Iran avait clairement signalé son intention de riposter, rendant la vulnérabilité actuelle prévisible pour beaucoup.

    Les récentes frappes israéliennes, bien que présentées comme une mesure préventive contre une supposée menace nucléaire iranienne, ont exposé des failles dans le système de défense Iron Dome, avec des échecs d’interception signalés par CBS News. Dans ce contexte, l’absence physique ou perçue des responsables politiques au cœur de la crise alimente les critiques. Smotrich, connu pour ses positions extrémistes, et Ben-Gvir, dont le passé controversé inclut l’affichage d’un portrait d’un meurtrier de masse, deviennent des cibles privilégiées de cette colère populaire.

    Et Netanyahu dans tout cela ?

    Selon des rapports, son avion officiel, le « Wing of Zion », aurait été aperçu dans la région d’information de vol d’Athènes après avoir transporté l’ambassadeur israélien en Grèce. Cela amplifie le ressentiment des Israéliens, déjà ébranlés par les événements, renforçant l’idée d’un leadership déconnecté, laissant la population affronter seule les conséquences de décisions qu’il a prises.

    Une crise qui interroge la légitimité

    Cette situation soulève des questions sur la gestion de la crise par les autorités israéliennes. Alors que l’Iran promet une vengeance implacable et que le monde observe une nouvelle escalade dans un conflit déjà ancien, les citoyens israéliens pourraient de plus en plus exiger des comptes. Si Netanyahu aurait effectivement cherché refuge à l’étranger, ou si Smotrich et Ben-Gvir resteraient tapis dans des bunkers, le fossé entre les dirigeants et le peuple risque de s’élargir, alimentant un mécontentement qui pourrait avoir des répercussions politiques majeures.

    Pour l’heure, la colère exprimée sur les réseaux sociaux et dans les rues reste un baromètre de cette tension croissante. Les prochains jours diront si cette frustration se transformera en un mouvement plus organisé, ou si les dirigeants réapparaîtront pour tenter de reprendre le contrôle du récit.

    La démission de Ronen Bar (Shin Bet): un nouveau pétard mouillé pour Netanyahu

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      Quelle délicieuse coïncidence ! Alors que les débris des missiles iraniens s’éparpillent encore sur le sol israélien, Ronen Bar, le chef du Shin Bet, a choisi ce moment théâtral pour plier bagage. Annoncée hier soir, sa démission est le dernier acte d’un vaudeville politique où Benjamin Netanyahu joue le rôle du metteur en scène autoproclamé – et, soyons francs, un peu dépassé par ses propres intrigues. Ce départ n’est pas qu’un simple adieu administratif : c’est une claque retentissante pour un Premier ministre qui transforme chaque crise en tribune personnelle.

      Une sortie qui sent le renoncement

      Ronen Bar, ce pilier autoproclamé des services secrets, a tenu le cap face aux tempêtes politiques – du moins jusqu’à hier. Il avait promis de protéger son agence des jeux de pouvoir, mais visiblement, la pression a eu raison de son endurance ! En mars dernier, notre cher Bibi, dans un élan de génie digne d’un téléroman, a tenté de le virer, invoquant un « manque de confiance ». Une motion votée par son cercle de flagorneurs, heureusement bloquée par la Haute Cour – parce que même en Israël, on aime bien un minimum de façade légale.

      Pourquoi cette chasse à l’homme ? Parce que Bar osait fouiller dans les petits secrets de la cour de Netanyahu – des liens douteux avec le Qatar, des fuites bien opportunes. Trop gênant pour le roi Bibi, qui préfère des subalternes bien sages. Alors, démission volontaire ou fuite déguisée ? On parie sur la seconde, avec un rictus amusé en prime !

      Un timing qui frise le ridicule

      Le clou du spectacle ? Cette démission tombe pile le 14 juin 2025, jour où l’Iran riposte avec ses missiles et drones après des frappes israéliennes. Quel flair dramatique ! Peut-être que Bar en a eu assez de boucher les trous d’un navire piloté par un capitaine ivre de gloire. Pendant que Netanyahu beugle des menaces contre Téhéran, son fils Yair bronze à Miami – un duo familial qui respire l’harmonie, n’est-ce pas ? Cette escalade avec l’Iran, présentée comme une prouesse stratégique, ressemble à une diversion maladroite pour masquer les procès en corruption de Bibi.

      Perdre Bar, un rouage du Shin Bet, au cœur de ce chaos ? C’est comme confier une baguette de chef d’orchestre à un sourd. Son successeur ? Sans doute un fidèle prêt à fermer les yeux sur les frasques de son patron.

      Un régime qui tangue… et fait rire, dans un monde de marionnettes

      La sortie de Bar est le miroir déformant d’un régime au bord de la crise de nerfs. Les manifestations de mars contre le licenciement avorté montraient un peuple fatigué des caprices d’un autocrate en herbe.

      Pendant ce temps, les alliés internationaux – Macron, Starmer, même Trump – se grattent la tête, se demandant si soutenir ce pitre vaut encore le coup. Mais attention, ces « saints » ne sont pas exempts de leurs propres chaînes ! Macron danse au rythme du CRIF et de ses lobbies parisiens, Starmer jongle avec les pressions de Westminster, et Trump, lui, est tenu en laisse par une armée de donateurs et d’influenceurs à Washington (AIPAC). Tous ces « grands leaders » sont des pantins dans l’ombre de leurs propres territoires, rendant leurs critiques envers Bibi aussi crédibles qu’un discours de paix en pleine guerre.

      Mais Bibi, inébranlable, continue son one-man-show, convaincu que la peur le portera. Spoiler : ça sent le sapin.

      Épilogue : un roi nu face à son naufrage

      La démission de Ronen Bar est une gifle pour Netanyahu – un rappel que même ses pions utiles finissent par craquer. Ce « grand stratège » qui promet la victoire contre l’Iran pourrait bien se retrouver seul, entouré de ses scandales et de ses rêves déchus. Alors, Mesdames et Messieurs, profitez du spectacle : le compte à rebours est lancé, et le rideau risque de tomber sur ce roi nu plus vite qu’il ne l’espère. Pop-corn, anyone ?

      Bolloré, l’oligarque des médias qui étrangle la liberté d’information

      Bolloré, l’oligarque des médias qui étrangle la liberté d’information

      Vincent Bolloré, milliardaire autoproclamé champion de la « liberté », orchestre une entreprise de censure aussi sophistiquée que glaçante. Une enquête révèle que plus de 500 journalistes ayant quitté ses médias – Canal+, Europe 1, Le Journal du Dimanche (JDD), Paris Match – sont liés par des clauses de « loyauté » et de « non-dénigrement » à vie. Ces chaînes invisibles les empêchent de parler de Bolloré, de ses entreprises ou de leurs pratiques internes. Mais ce n’est que la partie émergée de l’iceberg : en contrôlant une part significative de l’information en France, Bolloré ne se contente pas de museler les voix dissidentes ; il sculpte le récit national à sa guise, menaçant directement la démocratie…

      Corruption : quand l’Etat Français maquille les chiffres et supprime les témoins

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      Chaque année, l’organisation non gouvernementale Transparency International publie son Indice de Perception de la Corruption (IPC), un classement mondial qui mesure la corruption dans le secteur public de près de 180 pays. Cet indice est devenu une référence internationale, utilisée par les institutions financières, les journalistes et les chercheurs pour évaluer la qualité de la gouvernance. Mais comment fonctionne réellement cet outil ? Sur quoi repose-t-il ? Et quelles sont ses limites ?

      Nouvelle coalition de censure en ligne : une menace déguisée pour la liberté d’expression

      Nouvelle coalition de censure en ligne : une menace déguisée pour la liberté d’expression

      Sous le prétexte fallacieux de protéger la démocratie et la santé publique, la ministre déléguée à l’Égalité et à la Lutte contre les discriminations, Aurore Bergé, a annoncé le 9 juillet 2025 la création d’une coalition d’associations militantes financée par l’État pour traquer les « contenus haineux » en ligne. Ces contenus, une fois signalés, seront transmis à l’Arcom (Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique) pour une suppression expéditive. Présentée comme une croisade contre l’antisémitisme, le racisme ou l’homophobie, cette initiative n’est rien d’autre qu’un outil déguisé pour museler les voix dissidentes et contrôler le débat public. En confiant à des organisations militantes, souvent marquées par des agendas idéologiques, le pouvoir de définir ce qui est « haineux », l’État ouvre la voie à une censure ciblée qui menace gravement la liberté d’expression en France.

      Une coalition d’associations militantes au cœur du dispositif

      L’entourage de la ministre a précisé à l’AFP la composition de cette coalition, qui regroupe les associations suivantes :

      Le MEDEF veut priver d’indemnités les non-vaccinés contre la grippe

      Le MEDEF veut priver d’indemnités les non-vaccinés contre la grippe

      Dans une nouvelle démonstration de son penchant pour les incursions hors de son périmètre, le Mouvement des Entreprises de France (MEDEF) a jeté un pavé dans la mare en proposant de moduler les indemnités journalières et les compléments de salaire des salariés non vaccinés contre la grippe en cas d’arrêt maladie. Une mesure, intégrée dans une centaine de propositions pour réduire les dépenses de la Sécurité sociale en vue du budget 2026, qui illustre une fois de plus l’audace du MEDEF à s’aventurer sur des terrains où sa légitimité est, au mieux, à peine discutable.

      Un monstre sous le masque : Pierre-Alain Cottineau, militant et ancien candidat LFI

      Un monstre sous le masque : Pierre-Alain Cottineau, militant et ancien candidat LFI

      L’affaire Pierre-Alain Cottineau, 32 ans, assistant familial à Oudon (Loire-Atlantique), est une abomination qui glace le sang et interroge les failles d’un système censé protéger les plus fragiles. Cet homme, qui se drapait dans une aura de vertu associative et politique, est accusé d’avoir orchestré un réseau pédocriminel d’une violence inouïe : viols, actes de torture et de barbarie sur des enfants, dont une fillette handicapée de 4 ans, un nourrisson de 5 mois et un garçon de 2 ans. Les faits, révélés en 2024 et amplifiés par de nouvelles découvertes en 2025, montrent un prédateur qui a su exploiter sa position publique pour agir dans l’ombre. L’indignation est totale, et elle doit l’être…

      États-Unis : Quand la « démocratie » gèle les comptes de ses opposants

      États-Unis : Quand la « démocratie » gèle les comptes de ses opposants

      Une rapporteuse spéciale des Nations Unies vient d’être officiellement sanctionnée par le gouvernement américain.

      Francesca Albanese, nommée par l’ONU pour enquêter sur les violations des droits humains dans les territoires palestiniens occupés, a vu ses avoirs gelés par les États-Unis. Elle est désormais interdite d’entrée sur le territoire américain, au même titre qu’un criminel de guerre ou qu’un trafiquant international.

      Son tort ? Avoir fait son travail. Avoir parlé de génocide à Gaza. Avoir osé contester la narration israélo-américaine. Voilà où en est la prétendue démocratie américaine en 2025.

      Car il ne s’agit pas d’une simple dispute diplomatique. Il ne s’agit pas d’un désaccord politique. Ce qu’on observe ici, c’est une nouvelle méthode de répression politique 2.0, financière, bureaucratique, et radicalement liberticide.

      Un message clair envoyé à quiconque oserait contester les intérêts géostratégiques des États-Unis : « Vous serez privés de vos droits, de vos biens, de votre voix. »

      Sarah Knafo et le silence assourdissant sur Taybeh : un « judéo-christianisme » au service des urnes

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      Sarah Knafo, élue vice-présidente de l’intergroupe Chrétiens d’Orient au Parlement européen le 12 février 2025, censée porter la voix des chrétiens persécutés n‘est qu’une posture taillée sur mesure pour séduire un électorat conservateur attaché aux racines chrétiennes de l’Europe. « 350 millions de Chrétiens sont persécutés dans le monde. Des hommes, des femmes, des enfants, parce qu’ils ont le malheur de croire en Jésus et qu’ils sont nés dans des pays qui le haïssent », lançait-elle avec emphase le jour de son élection, visant implicitement les exactions islamistes. Une rhétorique bien rodée, qui fait vibrer la corde sensible des électeurs nationalistes…

      Incendie majeur aux portes de Marseille : la ville en alerte face à un feu attisé par le mistral

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      Un incendie de grande ampleur s’est déclaré ce mardi 8 juillet 2025 aux Pennes-Mirabeau, commune limitrophe de Marseille, avant de se propager rapidement vers le nord de la cité phocéenne, touchant particulièrement le 16e arrondissement. Attisé par un mistral soufflant à plus de 70 km/h et des conditions de sécheresse extrême, le feu a déjà ravagé environ 350 hectares de végétation, plongeant la région dans une situation d’urgence…

      Diffusion de « pleurs de bébé » à Gaza : la tactique israélienne qui détruit le mensonge des boucliers humains

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      Depuis la réponse au 7 octobre, le conflit à Gaza a été marqué par une escalade dramatique des tactiques militaires, chacune révélant des aspects troublants des stratégies employées. Parmi ces tactiques, l’utilisation de quadricoptères israéliens émettant des sons de bébé pleurant pour attirer les résidents hors de leurs maisons se distingue comme une méthode particulièrement insidieuse. Cette pratique, bien que choquante, soulève des questions cruciales sur les intentions réelles derrière les opérations militaires israéliennes et contredit directement le narratif officiel selon lequel les cibles primaires sont le Hamas, avec des pertes civiles considérées comme des « dommages collatéraux » inévitables. Une analyse approfondie de cette tactique révèle une contradiction flagrante qui mérite d’être examinée de près…