Zone résidentielle à Téheran
Téhéran, 13 juin 2025 – Alors que le monde retient son souffle face à une escalade dramatique au Moyen-Orient, Israël a lancé ce vendredi une série de frappes massives contre l’Iran, ciblant des installations nucléaires, des bases militaires et des zones résidentielles. Cette opération, baptisée « Rising Lion » par le Premier ministre Benjamin Netanyahu, constitue une agression brutale qui ne peut être tolérée, tant par ses conséquences humanitaires que par sa violation manifeste des principes du droit international.
Une attaque unilatérale en plein processus de négociation
Ce qui rend cette agression particulièrement choquante, c’est son timing. Alors que des négociations nucléaires, sous l’égide des États-Unis et impliquant l’Iran, étaient en cours – avec une nouvelle ronde prévue dimanche à Oman – Israël a choisi de frapper, ignorant les appels à la retenue. Cette décision, présentée comme une initiative indépendante par Israël, contredit les efforts diplomatiques visant à désamorcer les tensions et à limiter le programme nucléaire iranien. Des spéculations persistent sur une possible assistance extérieure, notamment des États-Unis, étant donné la complexité logistique et militaire de l’opération, mais aucune preuve concrète n’a été confirmée à ce jour.
Des cibles civiles et des pertes innocentes
Les frappes israéliennes n’ont pas épargné les civils. Des images déchirantes de Téhéran montrent des immeubles résidentiels réduits en ruines, des pompiers luttant contre des incendies, et des familles en deuil. Selon des médias iraniens, des enfants figurent parmi les victimes, une tragédie qui soulève des questions éthiques graves. Les médias d’État iraniens révèlent également que des hauts gradés, dont le scientifique nucléaire Mohammad Tehranchi, le commandant de la société d’ingénierie du CGRI Gholamali Rashid, le chef de l’armée Bagheri, et le commandant du CGRI Hossein Salami, ont été tués dans ces frappes. L’attaque a visé des complexes abritant ces figures, mais le bilan inclut des femmes et des enfants, constituant une violation claire des conventions de Genève, qui exigent la protection des populations non combattantes.
Une violation du droit international
L’Arabie saoudite, dans une déclaration ferme, a condamné ces frappes comme une « agression flagrante » contre la souveraineté et la sécurité de l’Iran, qualifiant l’acte de « violation claire des lois et normes internationales ». Cette position est partagée par d’autres acteurs régionaux, comme Hamas, qui a exprimé sa solidarité avec l’Iran. Le droit international, notamment la Charte des Nations Unies, interdit l’usage de la force contre la souveraineté d’un État sans autorisation du Conseil de sécurité, sauf en cas de légitime défense immédiate – une justification que Israël invoque en citant la menace nucléaire iranienne. Cependant, avec des négociations en cours et aucune attaque imminente de l’Iran prouvée, cette défense semble fragile et opportuniste.
Une escalade risquant une guerre régionale
Netanyahu a déclaré que l’opération se poursuivra « autant de jours qu’il le faudra » pour éliminer la « menace » iranienne, un discours belliqueux qui risque de plonger la région dans une guerre totale. L’Iran a promis une réponse « sévère » et « destructrice », tandis que les Houthis yéménites ont averti que toute attaque contre l’Iran entraînerait un conflit régional dévastateur. Les marchés financiers réagissent déjà, avec une hausse des prix du pétrole de plus de 9 %, et des mouvements de retrait de personnel diplomatique et militaire sont observés dans la région, signe d’une tension extrême.
Une responsabilité collective
Cette agression met en lumière l’échec des puissances internationales à imposer une retenue. La communauté internationale, et particulièrement le Conseil de sécurité des Nations Unies, doit agir rapidement pour condamner ces actes, imposer des sanctions contre Israël et exiger un cessez-le-feu immédiat. Une enquête indépendante est nécessaire pour clarifier les éventuelles complicités ou assistances extérieures, y compris des États-Unis, dont le rôle reste sujet à spéculations en raison de la sophistication de l’opération.
En conclusion, l’attaque israélienne contre l’Iran est une violation scandaleuse du droit international et une menace pour la paix mondiale. Elle doit être dénoncée avec force, et les responsables tenus accountable, afin d’éviter une catastrophe humanitaire et géopolitique sans précédent. Le monde ne peut se permettre de rester silencieux face à une telle agression.
Bolloré, l’oligarque des médias qui étrangle la liberté d’information
Vincent Bolloré, milliardaire autoproclamé champion de la « liberté », orchestre une entreprise de censure aussi sophistiquée que glaçante. Une enquête révèle que plus de 500 journalistes ayant quitté ses médias – Canal+, Europe 1, Le Journal du Dimanche (JDD), Paris Match – sont liés par des clauses de « loyauté » et de « non-dénigrement » à vie. Ces chaînes invisibles les empêchent de parler de Bolloré, de ses entreprises ou de leurs pratiques internes. Mais ce n’est que la partie émergée de l’iceberg : en contrôlant une part significative de l’information en France, Bolloré ne se contente pas de museler les voix dissidentes ; il sculpte le récit national à sa guise, menaçant directement la démocratie…
Corruption : quand l’Etat Français maquille les chiffres et supprime les témoins
Chaque année, l’organisation non gouvernementale Transparency International publie son Indice de Perception de la Corruption (IPC), un classement mondial qui mesure la corruption dans le secteur public de près de 180 pays. Cet indice est devenu une référence internationale, utilisée par les institutions financières, les journalistes et les chercheurs pour évaluer la qualité de la gouvernance. Mais comment fonctionne réellement cet outil ? Sur quoi repose-t-il ? Et quelles sont ses limites ?
Nouvelle coalition de censure en ligne : une menace déguisée pour la liberté d’expression
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Une coalition d’associations militantes au cœur du dispositif
L’entourage de la ministre a précisé à l’AFP la composition de cette coalition, qui regroupe les associations suivantes :
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