Illustration réalisée par Contre7
Champagne pour tout le monde ! Après Philippe Pétain, Nicolas Sarkozy, l’ancien président bling-bling, vient d’être exclu de la Légion d’honneur. Un arrêté publié le 15 juin 2025 au Journal officiel a officialisé ce qu’on aurait dû faire il y a des lustres : retirer à l’ex-chef de l’État cette médaille qu’il portait comme un badge de scout, mais avec beaucoup moins d’honneur. Condamné à trois ans de prison, dont un ferme, pour corruption et trafic d’influence dans l’affaire des écoutes (alias « Paul Bismuth », son pseudonyme digne d’un polar de série B), Sarkozy n’avait plus rien à faire dans ce club prestigieux. Mais soyons honnêtes : aurait-il seulement dû y entrer un jour ?
Extrait du Journal Officiel n° 0138 du 15/06/2025:
Présidence de la République
GRANDE CHANCELLERIE DE LA LÉGION D’HONNEUR
Arrêté du 5 juin 2025 constatant une exclusion de droit
de l’ordre national de la Légion d’honneur
NOR : GCLC2515740A
Par arrêté du grand chancelier de la Légion d’honneur en date du 5 juin 2025 est constatée, avec effet
au 17 mai 2023, l’exclusion de droit de l’ordre national de la Légion d’honneur de M. Nicolas SARKÖZY de
NAGY BOCSA, né le 28 janvier 1955 à Paris. Cette exclusion entraîne la privation définitive de l’exercice des
droits et prérogatives attachés à la qualité de membre de la Légion d’honneur ainsi que l’interdiction de porter les
insignes de toute décoration française ou étrangère ressortissant à la grande chancellerie de la Légion d’honneur.
L’extrait du Journal Officiel n° 0138 du 15/06/2025 au format PDF
Source Officielle : https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000051736187
La Légion d’honneur, censée récompenser les mérites éminents, a été galvaudée quand on l’a épinglée sur le costume de ce politicien dont le CV déborde de controverses. Tiens, par exemple, cette anecdote croustillante : des soupçons de financement libyen pour sa campagne de 2007, avec des valises de billets venues de Kadhafi himself, selon des témoignages comme celui de l’intermédiaire Ziad Takieddine. Ou encore l’affaire Bettencourt, où Sarkozy a flirté avec des accusations d’abus de faiblesse pour quelques enveloppes bien garnies. Sans oublier Bygmalion, un joli tour de passe-passe avec des fausses factures pour sa campagne de 2012, et les sondages de l’Élysée, qui sentaient le favoritisme à plein nez. Sarkozy n’a pas collectionné les décorations, mais les casseroles, avec un zèle inégalé. Pourtant, il a fallu attendre une condamnation définitive pour que la Grande Chancellerie se décide à couper le cordon. Bravo pour la réactivité, on dirait la SNCF un jour de grève. Et que dire de cette distinction, si souvent attribuée à des brebis galeuses, qui semble parfois plus récompenser les réseaux que l’honneur véritable ?
Et puis, il y a cette petite trahison que beaucoup de Français n’ont pas oubliée : le traité de Lisbonne. En 2005, 55 % des Français disent « non » au projet de Constitution européenne lors d’un référendum. Un « non » clair, net, démocratique. Mais Sarkozy, en bon acrobate politique, passe outre. En 2007, il orchestre l’adoption du traité de Lisbonne, un copié-collé à peine maquillé du texte rejeté, sans consulter à nouveau le peuple. Un coup de poignard dans le dos de la souveraineté populaire, applaudi par les élites européennes et hué par ceux qui croyaient encore que leur vote comptait. Ce mépris-là, beaucoup ne l’ont pas digéré, et voir Sarkozy pavaner avec sa Légion d’honneur pendant des années a eu le don de faire grincer des dents.
Alors, oui, son exclusion est une bonne nouvelle. Mais elle arrive comme une facture qu’on paie dix ans trop tard. Sarkozy, avec son ego surdimensionné et son talent pour s’attirer des ennuis – de Kadhafi à Bygmalion –, n’aurait jamais dû recevoir cette distinction. Et si la justice a fini par rattraper l’homme, on ne peut s’empêcher de penser que la République aurait pu se montrer plus regardante dès le départ. Quant à son recours devant la Cour européenne des droits de l’homme, annoncé par son avocat, c’est presque risible : un énième baroud d’honneur pour un homme qui a confondu la République avec son terrain de jeu personnel.
En attendant, le peuple français, lui, n’oublie pas. Ni les écoutes, ni les trahisons, ni ces anecdotes sulfureuses avec Kadhafi, Bettencourt et les autres. La Légion d’honneur sans Sarkozy, c’est un peu plus propre. Mais franchement, il était temps.
Conclusion : si à 70 ans on te retire ta légion d’honneur, t’as raté ta vie !
Bolloré, l’oligarque des médias qui étrangle la liberté d’information
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Corruption : quand l’Etat Français maquille les chiffres et supprime les témoins
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Sous le prétexte fallacieux de protéger la démocratie et la santé publique, la ministre déléguée à l’Égalité et à la Lutte contre les discriminations, Aurore Bergé, a annoncé le 9 juillet 2025 la création d’une coalition d’associations militantes financée par l’État pour traquer les « contenus haineux » en ligne. Ces contenus, une fois signalés, seront transmis à l’Arcom (Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique) pour une suppression expéditive. Présentée comme une croisade contre l’antisémitisme, le racisme ou l’homophobie, cette initiative n’est rien d’autre qu’un outil déguisé pour museler les voix dissidentes et contrôler le débat public. En confiant à des organisations militantes, souvent marquées par des agendas idéologiques, le pouvoir de définir ce qui est « haineux », l’État ouvre la voie à une censure ciblée qui menace gravement la liberté d’expression en France.
Une coalition d’associations militantes au cœur du dispositif
L’entourage de la ministre a précisé à l’AFP la composition de cette coalition, qui regroupe les associations suivantes :
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