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Dans un contexte de tensions géopolitiques exacerbées au Moyen-Orient, la stratégie de Donald Trump face à l’Iran suscite des interrogations. Entre un ultimatum de deux semaines donné à Téhéran pour négocier, un défi lancé à l’Europe, et des spéculations sur un possible false flag israélien, le président américain semble naviguer sur une corde raide. Deux lectures s’opposent : Trump cherche-t-il à s’aligner discrètement avec Israël pour préserver son soutien interne, ou tente-t-il de se distancer des puissants lobbys pro-israéliens ? Pendant ce temps, la Chine et la Russie, alliées de l’Iran, dénoncent les actions israéliennes, ajoutant une dimension globale à la crise.
Une stratégie à double visage
Premier scénario : un alignement “discret” avec Israël. Trump, conscient de la nécessité de maintenir le soutien des républicains et des conservateurs (une base électorale où le soutien à Israël reste fort malgré des critiques croissantes envers le Premier ministre Benjamin Netanyahou) pourrait chercher à s’aligner discrètement avec l’État hébreu. Des déclarations comme « Netanyahou n’est pas le président des États-Unis » lui permettraient de se couvrir face à une opinion publique américaine divisée, notamment parmi ceux qui reprochent à Israël une influence excessive sur la politique étrangère des États-Unis. Ce positionnement lui offrirait une marge de manœuvre pour soutenir Israël militairement ou diplomatiquement sans exaspérer une partie de ses électeurs, qui pourraient voir d’un mauvais œil une implication trop directe dans un conflit régional.
Second scénario : un désengagement des lobbys pro-israéliens. À l’inverse, Trump pourrait tenter de se distancer des pressions des lobbys pro-israéliens, comme l’AIPAC, en adoptant une posture qui transfère la responsabilité à l’Europe. En défiant explicitement les Européens de « prouver qu’ils peuvent conclure un accord » avec l’Iran, il place l’UE en première ligne, une manœuvre qui pourrait lui permettre de réduire l’influence des lobbys sur sa politique étrangère. Cette hypothèse est renforcée par le choix stratégique du délai de deux semaines, qu’il associe sciemment au temps nécessaire, selon ses propres déclarations, pour que l’Iran fabrique une arme nucléaire. Cette coïncidence rhétorique accentue l’urgence et met la pression sur toutes les parties, tout en permettant à Trump de se poser en observateur plutôt qu’en acteur direct.
Le lien stratégique des deux semaines
L’annonce par Trump d’un délai de deux semaines pour négocier avec l’Iran, couplée à son avertissement que Téhéran pourrait assembler une arme nucléaire dans le même laps de temps, n’est pas anodine. Cette synchronisation semble calculée pour maximiser la pression diplomatique et médiatique. En liant ces deux échéances, Trump crée un sentiment d’urgence qui pourrait pousser l’Iran à la table des négociations, tout en justifiant une éventuelle action militaire si celles-ci échouent. Cette rhétorique rappelle les tactiques de négociation musclée du président (Max pressure), mais elle soulève aussi des questions sur ses intentions réelles : cherche-t-il à désamorcer la crise ou à préparer le terrain pour une escalade ?
Un contexte régional explosif
Le contexte régional ne fait qu’amplifier les enjeux. Israël, confronté à une intensification des frappes iraniennes, rationne ses défenses antimissiles, suscitant des doutes sur sa capacité à tenir face à une escalade prolongée. Cette vulnérabilité pousse l’État hébreu à multiplier les appels au soutien des États-Unis et de l’Europe, renforçant l’idée que Trump, quel que soit son jeu, reste un acteur central dans la résolution – ou l’aggravation – de la crise.
Alerte sur un possible false flag
Face à cette situation, des voix occidentales s’élèvent pour mettre en garde contre un possible false flag israélien, une opération qui pourrait être orchestrée pour provoquer une intervention directe des États-Unis et de l’Europe dans le conflit. Une telle manœuvre, si elle se concrétisait, pourrait bouleverser l’équilibre géopolitique, forçant les puissances occidentales à s’impliquer militairement au côté d’Israël, avec des conséquences imprévisibles.
La Chine et la Russie dans l’équation
Enfin, la Chine et la Russie, alliées de l’Iran, ajoutent une dimension globale à la crise. En qualifiant les actions israéliennes d’« agression », ces deux puissances signalent leur intention de contrer toute tentative occidentale d’isoler Téhéran. Leur soutien diplomatique et potentiellement militaire à l’Iran complexifie davantage les calculs de Trump, qui doit naviguer entre les pressions internes, les attentes de ses alliés traditionnels, et le risque d’un conflit élargi.
Une équation géopolitique à haut risque
Que Trump opte pour un alignement discret avec Israël ou pour un désengagement stratégique des lobbys pro-israéliens, sa gestion de la crise iranienne sera déterminante. Le défi lancé à l’Europe, le lien rhétorique des deux semaines, et les alertes sur un possible false flag israélien soulignent l’extrême volatilité de la situation. Avec la Chine et la Russie fermement campées aux côtés de l’Iran, le monde retient son souffle face à une crise qui pourrait redéfinir les rapports de force au Moyen-Orient et au-delà.
Trump pourrait fournir des armes offensives à l’Ukraine, rapporte Axios
Dans une volte-face aussi spectaculaire qu’attendue de la part d’un président connu pour ses inconstances, Donald Trump s’apprête à annoncer ce lundi un plan audacieux pour fournir à l’Ukraine des armes offensives, y compris des missiles à longue portée capables de frapper le cœur de la Russie, selon des sources proches du dossier rapportées par Axios. Ce changement de cap, qui intervient à peine une semaine après que Trump eut réaffirmé son engagement à limiter l’aide à des armes défensives pour éviter une escalade avec Moscou, souligne une fois de plus l’imprévisibilité chronique de sa politique étrangère. Cette annonce, prévue lors d’une réunion avec le secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte, verra les pays européens financer des armes américaines destinées à Kiev, une ironie pour un président qui, il y a encore quelques mois, dénonçait l’aide à l’Ukraine comme un gouffre financier pour les États-Unis…
Conflit autour de Taïwan : Le Pentagone sollicite des clarifications auprès du Japon et de l’Australie
Le Département de la Défense des États-Unis (Pentagone) a récemment demandé au Japon et à l’Australie de préciser leurs positions potentielles en cas de conflit militaire entre les États-Unis et la Chine concernant Taïwan, selon des informations relayées par The Financial Times et reprises par plusieurs sources internationales ce samedi 12 juillet 2025. Cette démarche intervient dans un contexte de tensions croissantes en mer de Chine méridionale et de préoccupations croissantes concernant la stabilité régionale.
Un appel à la clarté stratégique
Selon les rapports, les autorités américaines chercheraient à évaluer l’engagement de leurs alliés clés en Asie-Pacifique face à un scénario où la souveraineté de Taïwan, revendiquée par Pékin comme une province rebelle, deviendrait le théâtre d’un affrontement majeur. Le Japon, abritant d’importantes bases militaires américaines, et l’Australie, partenaire stratégique via des accords comme l’AUKUS, jouent un rôle crucial dans la stratégie de défense indo-pacifique des États-Unis. Cette demande pourrait refléter une volonté de renforcer la coordination au sein des alliances existantes, notamment le Quad (États-Unis, Japon, Inde, Australie), face à l’essor militaire de la Chine.
Aucune déclaration officielle n’a été émise par le Pentagone à ce stade pour confirmer ou détailler cette initiative, laissant place à des spéculations sur son ampleur et ses objectifs. Les sources suggèrent que cette démarche s’inscrit dans une évaluation plus large des capacités de dissuasion collective, alors que des analystes pointent du doigt les avancées technologiques chinoises, notamment dans les missiles hypersoniques, selon un rapport de la RAND Corporation daté de 2023...
États-Unis : Quand la « démocratie » gèle les comptes de ses opposants
Une rapporteuse spéciale des Nations Unies vient d’être officiellement sanctionnée par le gouvernement américain.
Francesca Albanese, nommée par l’ONU pour enquêter sur les violations des droits humains dans les territoires palestiniens occupés, a vu ses avoirs gelés par les États-Unis. Elle est désormais interdite d’entrée sur le territoire américain, au même titre qu’un criminel de guerre ou qu’un trafiquant international.
Son tort ? Avoir fait son travail. Avoir parlé de génocide à Gaza. Avoir osé contester la narration israélo-américaine. Voilà où en est la prétendue démocratie américaine en 2025.
Car il ne s’agit pas d’une simple dispute diplomatique. Il ne s’agit pas d’un désaccord politique. Ce qu’on observe ici, c’est une nouvelle méthode de répression politique 2.0, financière, bureaucratique, et radicalement liberticide.
Un message clair envoyé à quiconque oserait contester les intérêts géostratégiques des États-Unis : « Vous serez privés de vos droits, de vos biens, de votre voix. »
Sarah Knafo et le silence assourdissant sur Taybeh : un « judéo-christianisme » au service des urnes
Sarah Knafo, élue vice-présidente de l’intergroupe Chrétiens d’Orient au Parlement européen le 12 février 2025, censée porter la voix des chrétiens persécutés n‘est qu’une posture taillée sur mesure pour séduire un électorat conservateur attaché aux racines chrétiennes de l’Europe. « 350 millions de Chrétiens sont persécutés dans le monde. Des hommes, des femmes, des enfants, parce qu’ils ont le malheur de croire en Jésus et qu’ils sont nés dans des pays qui le haïssent », lançait-elle avec emphase le jour de son élection, visant implicitement les exactions islamistes. Une rhétorique bien rodée, qui fait vibrer la corde sensible des électeurs nationalistes…
Occident : Lorsque l’Alignement Transnational Domine les États
Sous le masque de la coopération mondiale, une globalisation systémique aligne l’Occident et une partie du Moyen-Orient sur les intérêts d’une élite transnationale, sacrifiant la souveraineté et la diversité des nations. Ce globalisme, orchestré par des institutions comme le Forum économique mondial (WEF), des multinationales et des réseaux de lobbying, concentre la richesse, manipule la diversité culturelle et exploite l’insécurité pour imposer un contrôle accru. Depuis le second mandat de Donald Trump (20 janvier 2025), cet agenda s’est accéléré, dissimulé par une rhétorique patriotique qui trahit les aspirations souverainistes. Cet article dénonce les leviers financiers, culturels et stratégiques de cette emprise, explore la vassalisation de l’Europe par les États-Unis – de l’après-guerre à l’ère Trump – et met en lumière le rôle paradoxal d’Israël, qui promeut la globalisation tout en préservant son nationalisme. Face à cette menace, la défense des identités nationales et des libertés individuelles est une urgence.
1. Le Globalisme Financier : Une Concentration du Pouvoir
1.1. La domination des élites transnationales
Le globalisme financier repose sur la mainmise de multinationales et de fonds d’investissement comme BlackRock, gérant plus de 10 000 milliards de dollars d’actifs (Bloomberg, 2024). Ces acteurs imposent des normes économiques – dérégulation, privatisations, libre-échange – qui affaiblissent les États. Depuis 2025, le second mandat de Trump a accéléré cet alignement : son Agenda 47, présenté comme "America First", impose des tarifs douaniers (10 % sur les importations) qui forcent l’Europe et la Chine à signer des accords commerciaux bilatéraux favorisant les multinationales américaines (The Economist, 2025).
1.2. L’endettement comme levier d’alignement
La dette publique mondiale, à 97 % du PIB en 2023 (Banque mondiale, 2024), rend les nations dépendantes des créanciers comme le FMI. En France, Emmanuel Macron, formé chez Rothschild et promu par Jacques Attali – qui prédisait dès 2010 qu’il deviendrait président (Le Figaro, 2010) – a poussé la réforme des retraites de 2023, alignée sur les recommandations du WEF. En 2024, Macron revendiquait à Davos avoir "accompli" ses engagements globalistes, creusant les inégalités sociales (WEF, 2024). Depuis 2025, les sanctions américaines contre la Russie et la Chine, soutenues par Trump, ont forcé l’Europe à adopter des politiques économiques coûteuses, augmentant sa dépendance (The Wall Street Journal, 2025).
1.3. Une menace pour la diversité économique
Ce système concentre la richesse : 1 % de la population détient 50 % des richesses mondiales (Oxfam, 2024). Les classes moyennes et populaires stagnent, tandis que les modèles économiques locaux s’effacent face aux géants transnationaux. Les tarifs de Trump, censés protéger les emplois, ont déclenché des représailles économiques, réduisant la croissance mondiale de 1,2 % en 2025 (FMI, 2025), au détriment des nations.
Tarif de 50 % des USA sur le Brésil : Une Riposte aux BRICS ?
Bug dans la Matrice : Un Employé de xAI Licencié après avoir « Débridé » Grok, (nous avons capturé certaines des réponses pépites de l’IA)
Nommé par Netanyahu pour le Prix Nobel de la Paix, Trump déclare finalement : «Nous allons envoyer plus d’armes en Ukraine»
Lors de la dernière réunion à la Maison Blanche, marquée par la nomination de Donald Trump pour le Prix Nobel de la Paix par Benjamin Netanyahu, l’ancien président américain a déclaré qu’il fallait envoyer plus d’armes en Ukraine.
Cette affirmation, capturée dans une vidéo diffusée par Fox News sous le bandeau « NETANYAHOU NOMINE TRUMP POUR LE PRIX NOBEL DE LA PAIX », contraste vivement avec les rapports ultérieurs indiquant une suspension de l’aide militaire à l’Ukraine.
Cette volte-face illustre une fois de plus la tactique de « max pressure » de Trump, où des déclarations contradictoires servent à exercer une pression stratégique sur les parties impliquées.
Cependant, la nomination de Trump par Netanyahou pour le Prix Nobel de la Paix doit être considérée dans un contexte où Netanyahou est une figure hautement controversée.
Ses actions et ses déclarations ont souvent été critiquées, et sa parole n’est pas perçue comme une garantie de ce qu’est la paix.
Alors que la nomination pourrait suggérer une orientation vers la paix, les actions militaires proposées par Trump indiquent une approche plus complexe, naviguant entre des initiatives de paix et des mesures de défense.
Cette situation soulève très souvent des questions sur la sincérité et les motivations derrière de telles nominations et déclarations.
Diffusion de « pleurs de bébé » à Gaza : la tactique israélienne qui détruit le mensonge des boucliers humains
Depuis la réponse au 7 octobre, le conflit à Gaza a été marqué par une escalade dramatique des tactiques militaires, chacune révélant des aspects troublants des stratégies employées. Parmi ces tactiques, l’utilisation de quadricoptères israéliens émettant des sons de bébé pleurant pour attirer les résidents hors de leurs maisons se distingue comme une méthode particulièrement insidieuse. Cette pratique, bien que choquante, soulève des questions cruciales sur les intentions réelles derrière les opérations militaires israéliennes et contredit directement le narratif officiel selon lequel les cibles primaires sont le Hamas, avec des pertes civiles considérées comme des « dommages collatéraux » inévitables. Une analyse approfondie de cette tactique révèle une contradiction flagrante qui mérite d’être examinée de près…
Trump : le « sQam » du siècle ? (Par Vincent VDO)
🕵️♂️Après les promesses électorales de Donald Trump – mettre fin au "deep state", publier la liste d’Epstein, clore l’affaire Diddy, éviter une guerre au Moyen-Orient, et inspecter Fort Knox –, que s’est-il vraiment passé ?
👨⚖️ Le 7 juillet 2025, le FBI affirme que Jeffrey Epstein s’est suicidé sans laisser de liste compromettante, mais les doutes persistent.
🎧 Les enregistrements explosifs de Michael Wolff (100 heures sur Trump !).
🎥 La vidéo de 1992 montrant Trump et Epstein à Mar-a-Lago, et les photos qui parlent d’elles-mêmes.
📈 Explorez la proximité troublante de Trump avec Palantir, cette entreprise tech en hausse de 24 %, et les frappes iraniennes synchronisées CIA-Mossad.
⚖️ Que dire du soi-disant suicide de Virginia Giuffre et de la disparition de témoins dans l’affaire Diddy, blanchi aujourd’hui?
🤔 Et si Fort Knox, censé détenir des milliards en or, était vide ?
🚨 Cette vidéo soulève une question terrifiante : et si Q, l’espoir des "anons", n’était qu’une psyop orchestrant le plus grand "sQam" du siècle ?