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Soros finance le maire de New-York : L’Ombre sur Mamdani
New York, symbole du capitalisme mondial, vient d’élire son 111e maire : Zohran Mamdani, 34 ans, socialiste démocrate autoproclamé, premier musulman et sud-asiatique à diriger la ville. Victoire historique, célébrée comme un « rêve américain » par une coalition...Comment le terrorisme sioniste a accéléré la création de l’état d’Israël
Dans l’histoire de la Palestine mandataire, les actions terroristes menées par des organisations sionistes comme l’Irgun et le Lehi dans les années 1930 et 1940 ont laissé une marque de violence brutale, unanimement qualifiées de terrorisme par les autorités...Sarkozy : le président du Nouvel Ordre mondial et d’Israël
Sarkozy : le président du Nouvel Ordre mondial et d’Israël 23/10/2025 – Par Nicolas Philippe Granget Deux phrases. Deux instants de vérité. Deux aveux qu’aucun président avant lui n’avait osé prononcer. La première, en 2009, en direct de l’Élysée « Nous irons...Starmer : « Vous ne pourrez pas travailler au Royaume-Uni si vous n’avez pas d’identité numérique »
Moins de 10 jours après le Tech Prosperity Deal, entre le Royaume-Uni et les États-Unis, Keir Starmer annonce qu’il sera désormais impossible de travailler au Royaume-Uni sans carte d’identité...
Le jour où Nice a voulu appliquer la surveillance émotionnelle dans ses tramway
Nice, ville emblématique de la Côte d’Azur, est souvent célébrée pour son cadre idyllique, ses plages et son patrimoine culturel.
Mais en janvier 2019, elle a failli devenir le théâtre d’une expérimentation technologique inquiétante : l’introduction de la reconnaissance des émotions dans les tramways de la ligne 1. Ce projet, porté par la municipalité de Christian Estrosi – fervent adepte de la “Safe City” et multi-condamné pour diffamation et injure publique, tout en étant visé par des enquêtes pour détournement de biens publics et autres affaires – et la start-up messine Two-I, visait à analyser les expressions faciales des usagers via les caméras de vidéosurveillance pour détecter stress, anxiété ou colère.
Présentée comme une avancée pour la sécurité, cette initiative a suscité une vive controverse, révélant les dangers d’une surveillance intrusive dans une ville déjà saturée de caméras. Bien que l’expérimentation ait été abandonnée, cet épisode reste un signal d’alarme : jusqu’où irons-nous dans la quête d’une “Safe City” au détriment des libertés individuelles ?
Psyop de la BCE : Du cash pour survivre en cas de crise ?
La Banque centrale européenne (BCE) a sorti un conseil qui fleure bon le paradoxe : gardez 70 à 100 € en espèces par personne à la maison pour survivre à une crise – panne électrique, cyberattaque, ou autre joyeuseté. Une mesure de « bon sens », selon leur note du 24...Euro numérique : quand Lagarde prend la Chine en modèle
Dans une intervention qui marquera les annales de la maladresse stratégique, Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne (BCE), a eu l’idée pour le moins audacieuse de vanter le yuan numérique chinois comme source d’inspiration pour l’euro...
Enquête : le Tech Prosperity Deal, une innovation vers un contrôle total ?
Le 16 septembre 2025, les États-Unis et le Royaume-Uni ont signé le "Tech Prosperity Deal", un accord injectant 42 milliards de dollars dans l’intelligence artificielle (IA) et l’énergie nucléaire civile, porté par des mastodontes comme Microsoft, Amazon, Nvidia, Oracle, BlackRock, OpenAI, CoreWeave et, indirectement, Palantir. Présenté comme un "changement générationnel" pour créer 7 600 emplois et révolutionner la santé et l’énergie, ce pacte cache une menace insidieuse : une surveillance de masse accrue et une mainmise de l’ultra-libéralisme sur les données et la souveraineté des citoyens. Alors que l’Union européenne (UE) fait mine de résister avec des régulations comme le RGPD et l’AI Act, l’implication d’acteurs comme BlackRock et Palantir, alliés à la résignation du public, rapproche dangereusement nos sociétés de la vision dystopique de Klaus Schwab, où la vie privée est sacrifiée au nom du progrès...
Occident : Lorsque l’Alignement Transnational Domine les États
Sous le masque de la coopération mondiale, une globalisation systémique aligne l’Occident et une partie du Moyen-Orient sur les intérêts d’une élite transnationale, sacrifiant la souveraineté et la diversité des nations. Ce globalisme, orchestré par des institutions comme le Forum économique mondial (WEF), des multinationales et des réseaux de lobbying, concentre la richesse, manipule la diversité culturelle et exploite l’insécurité pour imposer un contrôle accru. Depuis le second mandat de Donald Trump (20 janvier 2025), cet agenda s’est accéléré, dissimulé par une rhétorique patriotique qui trahit les aspirations souverainistes. Cet article dénonce les leviers financiers, culturels et stratégiques de cette emprise, explore la vassalisation de l’Europe par les États-Unis – de l’après-guerre à l’ère Trump – et met en lumière le rôle paradoxal d’Israël, qui promeut la globalisation tout en préservant son nationalisme. Face à cette menace, la défense des identités nationales et des libertés individuelles est une urgence.
1. Le Globalisme Financier : Une Concentration du Pouvoir
1.1. La domination des élites transnationales
Le globalisme financier repose sur la mainmise de multinationales et de fonds d’investissement comme BlackRock, gérant plus de 10 000 milliards de dollars d’actifs (Bloomberg, 2024). Ces acteurs imposent des normes économiques – dérégulation, privatisations, libre-échange – qui affaiblissent les États. Depuis 2025, le second mandat de Trump a accéléré cet alignement : son Agenda 47, présenté comme "America First", impose des tarifs douaniers (10 % sur les importations) qui forcent l’Europe et la Chine à signer des accords commerciaux bilatéraux favorisant les multinationales américaines (The Economist, 2025).
1.2. L’endettement comme levier d’alignement
La dette publique mondiale, à 97 % du PIB en 2023 (Banque mondiale, 2024), rend les nations dépendantes des créanciers comme le FMI. En France, Emmanuel Macron, formé chez Rothschild et promu par Jacques Attali – qui prédisait dès 2010 qu’il deviendrait président (Le Figaro, 2010) – a poussé la réforme des retraites de 2023, alignée sur les recommandations du WEF. En 2024, Macron revendiquait à Davos avoir "accompli" ses engagements globalistes, creusant les inégalités sociales (WEF, 2024). Depuis 2025, les sanctions américaines contre la Russie et la Chine, soutenues par Trump, ont forcé l’Europe à adopter des politiques économiques coûteuses, augmentant sa dépendance (The Wall Street Journal, 2025).
1.3. Une menace pour la diversité économique
Ce système concentre la richesse : 1 % de la population détient 50 % des richesses mondiales (Oxfam, 2024). Les classes moyennes et populaires stagnent, tandis que les modèles économiques locaux s’effacent face aux géants transnationaux. Les tarifs de Trump, censés protéger les emplois, ont déclenché des représailles économiques, réduisant la croissance mondiale de 1,2 % en 2025 (FMI, 2025), au détriment des nations.