Dans une déclaration aussi pathétique qu’inepte, Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, s’est vantée le 10 juin 2025 d’avoir mis fin à l’ère des pipelines Nord Stream 1 et 2, affirmant que « l’Europe les met derrière elle pour de bon ». Cette annonce, faite aux côtés de Kaja Kallas, l’ancienne première ministre estonienne et désormais Haute Représentante de l’Union pour les affaires étrangères, n’a fait qu’ajouter à l’absurdité de la situation. Kallas, connue pour ses positions fermement anti-russes et ses liens étroits avec la National Endowment for Democracy (NED), une organisation financée par la CIA et souvent critiquée pour ses ingérences dans les affaires internes des pays, incarne parfaitement l’alignement de l’UE sur les intérêts américains. Quelques jours plus tôt, Donald Trump, dans une vidéo largement diffusée, avait tranquillement revendiqué la responsabilité de cette « victoire » énergétique, déclarant sans ambages qu’il était « celui qui a mis fin à Nord Stream 2 ». Alors, von der Leyen croit-elle réellement qu’elle peut berner quiconque avec son petit numéro de souveraineté européenne, ou est-ce simplement une nouvelle preuve de l’humiliation continue de l’Union européenne face à l’hégémonie américaine ?
Voyons les faits. Nord Stream 1 et 2, ces pipelines qui reliaient la Russie à l’Allemagne via la mer Baltique, ont été neutralisés non pas par une quelconque décision brillante de Bruxelles, mais par une combinaison de sanctions américaines sous Trump et, très probablement, par un sabotage orchestré ou facilité par les États-Unis. Les enquêtes sur les explosions de 2022 n’ont pas encore abouti à des conclusions définitives, mais les soupçons pèsent lourdement sur Washington, avec des rapports suggérant des opérations comme BALTOPS 2022. Et maintenant, von der Leyen ose nous faire croire que c’est l’Europe qui a décidé de tourner la page ? Ridicule.
Lunaire
— Contre7 Officiel (@LeMediaContre7) June 6, 2025
Trump confirme au chancelier allemand avoir éteint NS2 pour lui vendre son pétrole...
Partagez un max pic.twitter.com/w2oNvZpMqX
Pire encore, sa proposition de baisser le plafond des prix du pétrole russe à 45 $ par baril n’est qu’un autre exemple de cette danse macabre où l’UE suit docilement les ordres de son maître américain. Trump, dans sa vidéo, n’a pas seulement revendiqué la fin de Nord Stream ; il a aussi promis de vendre du pétrole et du gaz à l’Europe, « probablement le double de ce que quelqu’un d’autre pourrait faire ». Et que fait von der Leyen ? Elle renforce les sanctions contre la Russie, rendant l’Europe encore plus dépendante des États-Unis. C’est une stratégie qui ne sert qu’un seul intérêt : celui de Washington, qui voit là une occasion en or de dominer les marchés énergétiques européens.
Cette mascarade n’est pas nouvelle. Depuis des décennies, l’UE se présente comme un acteur géopolitique autonome, mais à chaque crise, elle se révèle être une simple extension des politiques américaines. Les sanctions contre la Russie, les pressions sur l’énergie, les discours moralisateurs sur la démocratie : tout cela n’est qu’un théâtre où von der Leyen joue le rôle de la figurante principale, tandis que les véritables décisions se prennent à Washington. Et pendant ce temps, l’Europe s’enfonce dans une dépendance énergétique croissante, sacrifiant son autonomie pour plaire à son protecteur transatlantique.
La présence de Kaja Kallas à ses côtés n’est pas anodine. Kallas, avec son passé de première ministre estonienne et ses liens bien documentés avec la NED, accusée de promouvoir des agendas pro-occidentaux à l’étranger, incarne l’alignement total de l’UE sur les intérêts américains. Sa nomination comme Haute Représentante pour les affaires étrangères n’est qu’un autre signe de l’infiltration américaine dans les institutions européennes. Ensemble, von der Leyen et Kallas forment un duo parfait : l’une prétendant à une souveraineté illusoire, l’autre agissant comme un agent anti-russe zélé, tous deux dansant au rythme de Washington.
Les réactions ne se sont pas faites attendre. Des accusations de sabotage, des dénonciations de corruption : tout cela reflète une frustration croissante face à une Union européenne qui semble incapable de tracer sa propre voie. Lorsque Trump peut se vanter d’avoir « éteint » Nord Stream, et que von der Leyen suit avec des annonces qui semblent sorties d’un manuel de communication de crise écrit à Langley, il est difficile de ne pas voir l’UE comme une simple marionnette.
Et pourtant, von der Leyen persiste. Elle parle de coordination avec le G7, comme si l’Europe avait un quelconque poids dans ces discussions. Mais qui décide vraiment ? Les États-Unis, bien sûr. L’UE n’est qu’un écho, un amplificateur des politiques américaines, sans vision propre, sans stratégie indépendante. Et pendant ce temps, les Européens paient le prix fort, littéralement et figurativement, pour cette soumission.
En conclusion, la déclaration de von der Leyen n’est rien d’autre qu’un mensonge éhonté, une tentative pathétique de se donner une image de leader alors qu’elle ne fait que suivre les ordres. L’hégémonie américaine n’a jamais été aussi flagrante, et von der Leyen, avec son sourire figé et ses mots creux, en est la triste incarnation. L’Europe mérite mieux qu’une présidente qui danse au rythme de Washington, accompagnée d’un agent anti-russe financé par la NED. Mais tant qu’elle restera dans cet état de dépendance, elle continuera à être ridiculisée sur la scène mondiale. Et von der Leyen, avec sa prétendue souveraineté, ne sera jamais qu’une marionnette dont les fils sont tirés de l’autre côté de l’Atlantique.
Europe is putting Nord Stream 1 & 2 behind for good.
— Ursula von der Leyen (@vonderleyen) June 10, 2025
We also propose to lower the oil price cap from 60 to 45 $ per barrel.
Oil is one third of Russia’s government revenues.
We need to cut this source.
We'll discuss how to best coordinate with partners at the G7 Summit.
Quand la justice dérange : les juges de la Cour pénale internationale sanctionnés par les États-Unis pour avoir visé Netanyahou
C’est une gifle diplomatique, un camouflet lancé en pleine figure du droit international. Le 6 février 2025, un décret présidentiel américain signé par Donald Trump est venu officialiser ce que les cercles atlantistes suggéraient à demi-mot depuis des mois : les États-Unis refusent que leurs alliés, Israël en tête, puissent être poursuivis par une instance supranationale, fût-elle judiciaire. Résultat ? Quatre juges de la Cour pénale internationale (CPI), ayant émis un mandat d’arrêt contre Benyamin Netanyahou pour crimes de guerre présumés à Gaza, sont désormais personae non grata aux États-Unis…
L’Inde sous l’emprise coloniale : une souveraineté entravée par l’hégémonie britannique
L’Inde, ancienne colonie britannique, n’a jamais pleinement rompu les chaînes de son passé impérial. Malgré son indépendance en 1947, son positionnement géopolitique, y compris son soutien à Israël, révèle une hégémonie britannique persistante, incarnée par des décisions historiques comme la Déclaration Balfour de 1917 et prolongée par le silence complice du Premier ministre Keir Starmer face aux tensions actuelles au Moyen-Orient. Cette emprise coloniale limite la souveraineté de l’Inde, la maintenant dans une orbite anglo-saxonne, tandis que des narratifs géopolitiques, comme celui accusant l’Iran d’une bombe nucléaire imaginaire depuis 1996, servent à justifier des interventions globales. L’Inde, tiraillée entre son passé et ses ambitions, peine à s’affirmer comme une puissance autonome...
Rafael Grossi déclare n’avoir aucune preuve d’un programme iranien pour fabriquer l’arme nucléaire
Le fléau du néonazisme dans l’armée ukrainienne
Un récent article publié par *Le Monde* le 18 juin 2025, intitulé « Guerre en Ukraine : au sein de la 3e brigade d’assaut ukrainienne, des centaines de soldats arborent toujours des symboles néonazis », met en lumière une réalité troublante : la persistance de symboles et d’idéologies néonazis au sein de certaines unités de l’armée ukrainienne. Cette enquête, basée sur une analyse approfondie des réseaux sociaux, révèle un problème systémique qui ne peut être ignoré, malgré les efforts de communication visant à minimiser l’ampleur du phénomène…
Le SpaceX Starship 36 explose lors d’un test : Revers pour le programme de colonisation de Mars
Dans une tournure dramatique des événements, le Starship 36 de SpaceX a explosé lors d’un test de tir statique hier soir, marquant un revers significatif pour les ambitions de l’entreprise de coloniser Mars. L’incident, survenu à environ 23 heures (heure locale) à la base Starbase, au sud du Texas, a transformé le site d’essai en un brasier spectaculaire, soulignant les défis inhérents au développement de technologies de fusées réutilisables à grande échelle…
Le Double Jeu de Retailleau : De la menace Salafiste à le menace Iranienne
Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur français, s’est alarmé sur CNews d’une menace iranienne directe pesant sur le territoire français, évoquant des dizaines d’individus potentiellement liés à Téhéran et un attentat déjoué en 2018 contre des opposants iraniens. Une vigilance qui contraste brutalement avec son silence actuel sur les mouvances salafistes, qu’il dénonçait avec ferveur en 2015. À l’époque, dans un tweet du 23 novembre, Retailleau appelait à une coalition mondiale contre l’État islamique (Daesh), incluant la Russie et l’Iran, dénonçant une inaction qui permettait à ces groupes de prendre racine. Dix ans plus tard, ce discours a viré de bord, et l’Iran est devenu l’ennemi numéro un, tandis que les salafistes semblent curieusement absents de ses préoccupations. Ce glissement narratif soulève des questions troublantes, surtout à la lumière des récents rapprochements diplomatiques et des révélations sur les alliances au Moyen-Orient…
Alerte: Le porte-avion USS Nimitz au Moyen-Orient pourrait être la cible d’un « False Flag »
Un avertissement alarmant a été lancé par Ray McGovern, ancien analyste de la CIA respecté, concernant l’USS Nimitz, un porte-avions américain actuellement en route vers le Moyen-Orient. Dans un post publié sur X le 17 juin 2025, McGovern a appelé le capitaine du navire à se préparer à une possible attaque imminente, suggérant un scénario d’une gravité exceptionnelle : une opération sous faux drapeau orchestrée par Israël, visant à faire porter la responsabilité à l’Iran…
Jordan Bardella, le « souverainiste » qui défend les traîtres à la France
Dans une volte-face politique qui en dit long sur ses véritables priorités, Jordan Bardella, président du Rassemblement National et autoproclamé défenseur de la souveraineté française, s'est érigé en chevalier blanc de Nicolas Sarkozy, cet ancien président dont les casseroles sont aussi nombreuses que ses reniements. Alors que Sarkozy a été définitivement condamné pour corruption dans l'affaire des écoutes, Bardella ose parler d'une "volonté d'humilier" l'ex-chef d'État, ignorant superbement les faits et les conséquences de ses actes. Mais au-delà de cette défense indéfendable, c'est l'hypocrisie de Bardella qui saute aux yeux, surtout lorsqu'on se rappelle que Sarkozy est celui qui a trahi la France en signant le traité de Lisbonne, un acte qui a gravement entamé notre souveraineté nationale...
Une nouvelle trahison numérique : Matignon sacrifie la souveraineté française au profit d’un géant américain
Le 16 juin 2025, La Lettre a révélé un scandale qui devrait faire bondir quiconque se soucie de la souveraineté numérique française. Le Service d’Information du Gouvernement (SIG), rattaché à Matignon, a décidé de remplacer Visibrain, une entreprise française assurant depuis 2017 la veille stratégique sur les réseaux sociaux, par l’américain Talkwalker. Ce choix, loin d’être anecdotique, est une nouvelle capitulation face aux intérêts étrangers, au mépris de la sécurité des données, de la compétitivité nationale et de l’indépendance technologique. Voici le décryptage d’une décision aussi aberrante que scandaleuse…
Les leaders juifs iraniens appellent à une réponse ferme face aux frappes israéliennes
Dans un développement rare et significatif, des figures éminentes de la communauté juive iranienne, dont le grand rabbin Yonas Hamami Lalazar et le député Homayoun Sameyah Najafabadi, ont publiquement appelé la République islamique d’Iran à répondre fermement aux récentes frappes aériennes israéliennes sur son territoire. Ces déclarations, qui surviennent au lendemain d’attaques israéliennes visant des infrastructures à Téhéran et Natanz, soulignent une fracture apparente entre la communauté juive iranienne et l’État d’Israël, tout en réaffirmant la loyauté de cette minorité envers le régime de Téhéran…