Mort suspecte d’Olivier Marleix : encore un “suicide” qui réduit au silence ?

Mort suspecte d’Olivier Marleix : encore un “suicide” qui réduit au silence ?

Le 7 juillet 2025, Olivier Marleix, député Les Républicains d’Eure-et-Loir, est retrouvé pendu à son domicile d’Anet, à l’âge de 54 ans. Un suicide, selon le procureur de Chartres, Frédéric Chevallier. Un « petit bout de papier » non encore exploité, pas de lettre explicative, des ordinateurs et un téléphone saisis pour analyse : voilà tout ce que les autorités daignent partager. Pour un média dissident qui refuse d’avaler les narratifs officiels, cette mort brutale sent le soufre. Marleix, figure intègre et pugnace, dérangeait. Et si ce « suicide » était une vérité trop commode pour un système qui n’aime pas les voix discordantes ?

Oh, Miracle ! Le FBI Déclare : Pas de Liste Epstein, Juste un Suicide Impeccable

Oh, Miracle ! Le FBI Déclare : Pas de Liste Epstein, Juste un Suicide Impeccable

Une Farce à l’Americaine

Tenez-vous bien, chers patriotes, car le 07 juillet 2025, le FBI nous a gratifiés d’une annonce aussi hilarante qu’incroyable : Jeffrey Epstein, l’homme aux secrets juteux, s’est « bel et bien suicidé » dans sa cellule, et “roulements de tambour” il n’y a aucune liste de ses petits copains puissants !

Oui, vous avez bien lu : après des années de spéculations délirantes et de scandales à n’en plus finir, les gardiens de la vérité fédérale nous servent cette pépite comme si on avalait des bonbons. Mais franchement, qui pourrait gober une telle fable dans l’Amérique des héros et des complots ?

Décès d’un franc-maçon à Fontainebleau : drogue et rencontre au cœur de l’enquête

Décès d’un franc-maçon à Fontainebleau : drogue et rencontre au cœur de l’enquête

Laurent Kupferman, essayiste et membre éminent du Grand Orient de France, a été retrouvé mort mercredi 2 juillet au matin, dans un appartement du centre-ville de Fontainebleau, en Seine-et-Marne. Âgé de 59 ans, il serait décédé après avoir consommé des drogues de synthèse, notamment du GHB et de la 3MMC, en compagnie de deux hommes rencontrés via un site de rencontre. Une enquête pour « homicide involontaire » est en cours, et les deux individus présents ont été placés en garde à vue…

BFMTV, le naufrage d’une chaîne en quête de scandale : l’attaque pathétique contre Alain Soral

BFMTV, le naufrage d’une chaîne en quête de scandale : l’attaque pathétique contre Alain Soral

Alors que les chaînes d’information en continu, à l’image de BFMTV, s’enfoncent dans un déclin d’audience aussi prévisible que pathétique, la stratégie est claire : fabriquer des scandales à tout prix pour tenter de ramener un public désabusé. Dans cette descente aux enfers médiatiques, Alain Soral, voix dissidente et suivie par un nombre croissant de Français lassés du récit officiel, devient la cible idéale d’une campagne de diffamation orchestrée par une BFMTV aux abois. Mais cette tentative désespérée de salir une figure révélatrice d’un ras-le-bol général risque de se retourner contre ses instigateurs. Démonstration.

La chute libre de BFMTV : un média en fin de course

Les chiffres ne mentent pas. En 2023, BFMTV se vantait encore d’être la première chaîne d’info avec 3 % de part d’audience, mais les tendances récentes montrent un effondrement inexorable. Les Français, saturés par une couverture biaisée et sensationnaliste, tournent le dos à ces organes mainstream qui servent plus les intérêts politiques que l’information brute. Face à cette hémorragie, que fait BFMTV ? Elle dégaine l’arme fatale du scandale fabriqué, espérant capter l’attention avec des titres racoleurs et des accusations infondées. Le 3 juillet 2025, la chaîne publie un article prétendant qu’Alain Soral, exilé en Suisse, est recherché pour « provocation au terrorisme » dans une soi-disant affaire d’ingérence pro-iranienne. Un scoop ? Non, une pantalonnade.

Soral, bouc émissaire d’une chasse aux sorcières

Reprenons les faits. BFMTV s’appuie sur une enquête du Pôle national de lutte contre la haine en ligne (PNLH) concernant une chaîne Telegram « Axe de la Résistance », accusée de propagande pro-iranienne. Trois personnes, dont une Iranienne à Lyon, sont mises en examen. Jusque-là, rien de neuf. Mais associer Soral à cette affaire relève de la pure spéculation. La chaîne brandit comme preuve une vieille déclaration de 2013 où Soral, avec son humour provocateur, avait plaisanté sur 3 millions d’euros reçus de l’Iran pour financer une liste antisioniste. Or, comme l’a révélé une ancienne vidéo et largement vue à l’époque, Soral a démenti cette histoire, la présentant comme ironique et fausse. BFMTV, dans sa hâte de salir, oublie commodément ce démenti, préférant tisser un récit mensonger pour faire de Soral le diable incarné.
Pas de preuves solides d’un financement récent, pas de mandat d’arrêt officiel publié, juste des soupçons vagues et des perquisitions infructueuses chez lui en mai dernier. Pourtant, BFMTV ose titrer avec assurance, transformant une enquête en cours en verdict. Où est le journalisme, si ce n’est dans la poubelle de la propagande ?

Proposition de loi n°1535 : « interdire et sanctionner les contenus et discours à caractère antirépublicain »

Proposition de loi n°1535 : « interdire et sanctionner les contenus et discours à caractère antirépublicain »

Proposition de loi n°1355 : la République brandit le bâton de la censure
Le 10 juin 2025, une clique de députés, emmenée par Vincent Jeanbrun et Laurent Wauquiez, a osé déposer à l’Assemblée nationale la proposition de loi n°1355, prétendument destinée à « interdire et sanctionner les contenus et discours à caractère antirépublicain ». Sous le masque de la défense des valeurs républicaines – liberté, égalité, laïcité –, ce texte est une attaque frontale contre la liberté d’expression, un coup de poignard dans le cœur du débat démocratique. Cette proposition liberticide, drapée dans les oripeaux de la vertu républicaine, n’est rien d’autre qu’un outil pour imposer une pensée unique et museler toute voix dissidente. Voici pourquoi elle doit être dénoncée avec la plus grande vigueur.

Un texte vague, une arme contre la liberté
L’article 1er de cette proposition définit comme « antirépublicain » tout discours qui « remet en cause » la laïcité, la démocratie ou l’indivisibilité de la nation, ou qui promeut des idées contraires comme la théocratie ou le communautarisme. Ces termes sont d’une ambiguïté criminelle. Qu’est-ce que « remettre en cause » ? Une critique des dérives autoritaires de l’État ? Une réflexion sur la laïcité mal appliquée ? Un débat sur l’identité culturelle ? Tout cela pourrait tomber sous le couperet d’une justice aux ordres d’une élite autoproclamée. Ce flou n’est pas un oubli : c’est une arme, conçue pour frapper large et intimider quiconque oserait penser hors des clous de la « bien-pensance » républicaine.

Des sanctions dignes d’un régime autoritaire
La proposition ne fait pas dans la dentelle : jusqu’à 3 ans de prison et 45 000 € d’amende pour un tweet ou un discours jugé « antirépublicain », et même 5 ans et 75 000 € si cela se passe en ligne, en réunion, ou par un élu. Des peines dignes d’un régime qui craint les mots plus que les actes. Associations, collectifs, ou même lieux de culte risquent la dissolution pure et simple (article 4) si l’État décide qu’ils franchissent la ligne rouge – une ligne qu’il trace lui-même, bien sûr. Quant aux plateformes numériques, elles devront jouer les censeurs zélés, supprimant tout contenu signalé en 24 heures sous peine de sanctions (article 5). Résultat ? Une autocensure généralisée, où citoyens, médias et entreprises préféreront se taire plutôt que de risquer la foudre d’un État devenu gardien de la pensée...

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Le 2 juillet 2025, la commission des Affaires européennes de l’Assemblée nationale française a voté sur un amendement crucial concernant l’application des mandats d’arrêt émis par la Cour pénale internationale (CPI) contre Benjamin Netanyahu, Premier ministre d’Israël, et Yoav Gallant, ministre de la Défense, pour des crimes présumés contre l’humanité et des crimes de guerre en Palestine. Ce vote, bien que rejeté par une courte majorité de 16 voix contre 15, révèle une division significative au sein des instances politiques françaises sur la question de la justice internationale. Cet article dresse la liste des députés impliqués dans ce vote et analyse leur position, tout en soulignant l’importance de respecter les obligations de la France envers la CPI…

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Le 2 juillet 2025, le verdict du procès de Sean « Diddy » Combs a été prononcé, laissant derrière lui un sillage d’amertume et de questions troublantes. Accusé de trafic sexuel, d’association de malfaiteurs (racketeering) et de transport à des fins de prostitution, le magnat de l’industrie musicale a été acquitté des deux premiers chefs – ceux qui auraient pu le clouer à vie derrière les barreaux – et reconnu coupable seulement du dernier, un délit passible d’une peine maximale de 10 ans. Ce dénouement, aussi léger qu’un soufflé face à l’ampleur des accusations, a jeté un froid glacial sur les espoirs d’une justice impitoyable. Et si ce verdict n’était pas qu’une simple défaillance judiciaire, mais le résultat d’un écran de fumée érigé par des puissants soucieux de ne pas être éclaboussés ? Plongeons dans cette affaire nauséabonde où l’impunité semble danser avec l’influence…

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Le 1er juillet 2025, la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH), en collaboration avec plusieurs organisations palestiniennes, a déposé une plainte auprès du pôle Crimes contre l’humanité du tribunal judiciaire de Paris contre deux snipers franco-israéliens, identifiés sous les noms de Sasha A. et Gabriel B. Ces individus sont accusés d’avoir participé à des exécutions sommaires de civils palestiniens dans la bande de Gaza entre novembre 2023 et mars 2024…