Un scandale qui ébranle le mythe du GIEC
Le 23 janvier 2010, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), auréolé de son prix Nobel de la paix 2007 partagé avec Al Gore, a dû ravaler ses certitudes. Son affirmation alarmiste de 2007, selon laquelle les glaciers de l’Himalaya fondraient d’ici 2035, s’est révélée être une grossière supercherie. Basée sur un rapport non scientifique du WWF, lui-même tiré d’une étude douteuse de 1999, cette prédiction, qualifiée d’ »erreur regrettable », est un scandale qui dévoile la fragilité d’un édifice présenté comme infaillible.
Ce n’est pas une simple faute : c’est la preuve que le GIEC, loin d’incarner la science pure, s’est mué en un dogme intouchable, brandissant un « consensus scientifique » pour écraser toute critique.
Le consensus climatique : science ou dogme ?
Ce consensus, si souvent invoqué dans le débat climatique, n’est pas la science, mais une orthodoxie. La science véritable repose sur le doute, la vérification rigoureuse et l’expérimentation, pas sur des proclamations unanimes. Le climat, sujet complexe aux variables innombrables, est devenu un terrain où le dogme du GIEC, nobélisé pour mieux asseoir son autorité, sert de bélier aux lobbies pseudo-écologistes.
Ces derniers, souvent financés par des intérêts industriels, exploitent l’hystérie climatique pour imposer des solutions bidon : éoliennes aux impacts écologiques désastreux, batteries lithium-ion polluantes, taxes carbone qui accablent les classes moyennes. Le Nobel, censé célébrer la contribution du GIEC à la paix via la sensibilisation climatique, a transformé cette institution en une icône quasi religieuse, intouchable, dont les erreurs sont balayées comme de simples « regrets ».
La biodiversité sacrifiée sur l’autel du CO2
Pendant que le GIEC et ses alliés monopolisent l’attention avec des prévisions apocalyptiques, la véritable urgence écologique – l’effondrement de la biodiversité – est reléguée au second plan.
Chaque jour, 150 à 200 espèces disparaissent, mais les projecteurs restent braqués sur le CO2, obsession monomaniaque des élites climatiques. Protéger les forêts primaires, lutter contre les pesticides ou enrayer la pollution plastique ? Trop complexe, pas assez vendeur.
Les lobbies, sous couvert de « vert », poussent des solutions qui enrichissent les mêmes industries responsables des ravages environnementaux : extraction massive de métaux pour les batteries, parcs éoliens défigurant les paysages, taxes carbone qui pèsent sur les plus modestes. Le dogme climatique, amplifié par le prestige du Nobel, étouffe les vraies priorités.
Briser le dogme, recentrer le combat
Le jour où le GIEC a avoué son mensonge himalayen, il a fissuré son vernis de crédibilité. Ce n’était pas juste une erreur : c’était la révélation d’un système où la science est instrumentalisée pour servir des agendas politiques et économiques.
Le prix Nobel, loin de garantir la rigueur, a servi à sanctuariser un discours qui marginalise les véritables enjeux écologiques. Il est grand temps de briser ce dogme, de défier le consensus autoproclamé et de recentrer le combat sur ce qui compte vraiment : sauver la biodiversité, restaurer les écosystèmes, et non engraisser les lobbies sous les applaudissements d’un Nobel mal placé.
source: https://www.france24.com/fr/20100123-le-giec-admet-une-erreur-regrettable-fonte-glaciers-lhimalaya